Pourquoi lui ?
Parce qu’il est toujours mieux de lire un livre après avoir vu l’adaptation au cinéma ou à la télévision, on est moins déçu que l’inverse. Parce que c’est une photographie passéiste de tout ce qui n’existe plus : les excès à outrance, les nuits folles et euphoriques et même un « publicitaire dansant ». C’est dire que « les derniers jours du disco » marque la fin d’une décennie qui est rangée aujourd’hui dans les mémoires désenchantées de quelques survivants.
Ou le lire ?
Avant de se préparer pour sortir dans la nouvelle boite de nuit à la mode.
Le passage à retenir par cœur ?
“Pourquoi quand une fille a envie de coucher avec un inconnu, son QI chute de quarante points ?”
A qui l’offrir ?
A tout ceux qui regrettent leurs vingt ans…
Les Derniers Jours du disco (Tristram), traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Olivier Grenot, dessins de Pierre Le Tan, 384 pages, 21,50 €