Après Hurtlove, No Ceremony revient avec Deliverus. Une musique toujours envoutante. Une guitare sèche et un travail de sons en background, ou le mariage parfait entre électro et pop. En image, des archives de la grande dépression en noir et blanc. Une telle réussite entre le film et la musique que c’est toute une narration qu’on imagine instantanément. Ça aurait certainement aussi pu marcher pour Les Corons de Pierre Bachelet, mais on garde No Ceremony.