Jameson lance une campagne intitulée Cult Cocktail Club où l’apprentissage des plus grands cocktails (à base de Jameson bien sur) enseignés par des vrais barman et un spécialiste. Le tout est soutenu par une série de petits films. Avec en ouverture, une pub très 50’s (et même très Sin City dans les jeux de couleurs) où l’on retrouve l’ambiance sombre et humide des caves où les verres de whisky glissent sur les comptoirs. Une encyclopédie de l’apéro en somme, ce qu’Antoine Blondin appelait « les verres de contact« .