Loin des moyens de J.J. Abrams pour les nouveaux opus de Star Wars, Erik Wernquist envoie du rêve avec son Wanderers, un pur produit de la science fiction littéraire classique. De la prospective, des essais, un rétro-futurisme très proche des grands visionnaires K. Dick, Orwell ou Wells. On retrouve même l’idée de l’ascenseur parfaitement développé par le plus grand et le plus précis auteur de SF actuel, Kim Stanley Robinson et ses mythiques chroniques marsiennes. Un pur plaisir.