Lorsque l’on découvre le travail de Neon Mamacita, on est loin du premier Very Bad Trip, le film qui faisait dégénérer un enterrement de vie de garçon dans la ville lumière.
L’angle choisi par Neon Mamacita est intéressant par la mise en double exposition de deux univers, deux époques, et surtout deux paysages diamétralement opposés.
Mettant en perturbation, le désert d’Easy Rider, symbole de la liberté avec l’actuel Las Vegas, ville rêvée pour les joueurs de pokers, bourré de club de strip-tease en tout genres.
Une série qui nous laisse penser que le slogan d’Easy Rider est plus que jamais d’actualité.
« Un homme partit à la recherche de l’Amérique et ne la trouva nulle part »