C’est une affaire qui sent le déjà-vu. Huit ans après les accusations de trucage en faveur d’Emmanuel Macron lors de la primaire de La République en Marche, ou les rumeurs récurrentes de « fraude massive » en 2017 et 2022, le mouvement de jeunesse macroniste traverse sa plus grave crise.
Trump ouvre les vannes, les vidéos d’avenue Foch dorment toujours dans les placards de la justice française et Jack Lang continue de parader à la tête de l’Institut du monde arabe comme si accepter l’argent sale d’un prédateur de gamines était un détail.
Xavier Niel, le magnat de Free, vient de s'offrir pour 38,7 millions d'euros le Pavillon de Musique de Louveciennes, ce bijou néoclassique bâti au XVIIIe siècle par Claude-Nicolas Ledoux pour les plaisirs de Madame du Barry, dernière favorite de Louis XV.
« La démocratie est attaquée. Elle est attaquée dans tous les pays du monde. Elle est en grand danger d’être perdue si nous ne la défendons pas. »
« L’alternative à la démocratie est un cauchemar… Toute tyrannie est basée sur un mensonge. Plus grande est la tyrannie, plus grand est le mensonge. »
« Ne pas être d’accord avec le tyran et vous risquez l’emprisonnement, la torture et la mort. Pourtant, c’est ce que nous devons faire, tous autant que nous sommes. Nous devons protéger notre droit à dire la vérité. »
« La guerre en Ukraine est une absurdité, basée sur un mensonge. Si nous avalons ce mensonge, le mensonge nous mangera. Le mensonge est terrifié par la vérité. »
« Nous ne devons pas perdre cette bataille ».
Le Britannique de 70 ans est actuellement en tournée avec son programme My Songs, prévu en 2020. DDP Images/ABACA
Sting, chanteur engagé. Le chanteur britannique a interrompu le concert qu’il donnait samedi à Varsovie pour faire un bref discours sur la paix et la démocratie. Pour bien se faire comprendre, il a fait monter sur scène un comédien polonais qui a traduit ses paroles. À l’heure de la guerre en Ukraine et de la montée des populismes en Occident, le Britannique a mis en garde contre tous ceux qui attaquent et fragilise la démocratie. Il a insisté sur la nécessité de la défendre coûte que coûte, soulignant que si elle pouvait être «désordonnée» et «frustrante», toute «alternative est un cauchemar».
Pour illustrer son propos, il a rappelé l’invasion de l’Ukraine par la Russie et le rôle de la Pologne, pays frontalier, qui a accueilli des milliers de réfugiés depuis le 24 février. «La guerre en Ukraine est une absurdité basée sur un mensonge. Si on gobe ce mensonge, ce mensonge nous dévorera», a-t-il estimé en référence aux justifications avancées par Moscou qui explique avoir envahi le pays pour le «dénazifier».
Le discours a fait mouche auprès du public polonais et résonne avec l’actualité d’un pays en première ligne dans le bras de fer entre l’Europe et la Russie. SI le rôle de Varsovie et la générosité des Polonais ont été salués, Bruxelles a mis en garde la Pologne sur l’état et l’indépendance de la justice locale. Après son discours le Britannique a chanté l’une de ses chansons les plus politiques Fragile : «rien ne vient de la violence et rien ne le pourra jamais».
APAR.TV is a series of interconnected information platforms. The platform is comprised of ultra-fast journalism reporting on contemporary events and people [creators and thinkers] involved with art, m
Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
Inscrivez-vous pour recevoir les newsletters dans votre boîte mail. Des tribunes et débats de société + Des contenus originaux + Une information alternative et prédictive