La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
« La démocratie est attaquée. Elle est attaquée dans tous les pays du monde. Elle est en grand danger d’être perdue si nous ne la défendons pas. »
« L’alternative à la démocratie est un cauchemar… Toute tyrannie est basée sur un mensonge. Plus grande est la tyrannie, plus grand est le mensonge. »
« Ne pas être d’accord avec le tyran et vous risquez l’emprisonnement, la torture et la mort. Pourtant, c’est ce que nous devons faire, tous autant que nous sommes. Nous devons protéger notre droit à dire la vérité. »
« La guerre en Ukraine est une absurdité, basée sur un mensonge. Si nous avalons ce mensonge, le mensonge nous mangera. Le mensonge est terrifié par la vérité. »
« Nous ne devons pas perdre cette bataille ».
Le Britannique de 70 ans est actuellement en tournée avec son programme My Songs, prévu en 2020. DDP Images/ABACA
Sting, chanteur engagé. Le chanteur britannique a interrompu le concert qu’il donnait samedi à Varsovie pour faire un bref discours sur la paix et la démocratie. Pour bien se faire comprendre, il a fait monter sur scène un comédien polonais qui a traduit ses paroles. À l’heure de la guerre en Ukraine et de la montée des populismes en Occident, le Britannique a mis en garde contre tous ceux qui attaquent et fragilise la démocratie. Il a insisté sur la nécessité de la défendre coûte que coûte, soulignant que si elle pouvait être «désordonnée» et «frustrante», toute «alternative est un cauchemar».
Pour illustrer son propos, il a rappelé l’invasion de l’Ukraine par la Russie et le rôle de la Pologne, pays frontalier, qui a accueilli des milliers de réfugiés depuis le 24 février. «La guerre en Ukraine est une absurdité basée sur un mensonge. Si on gobe ce mensonge, ce mensonge nous dévorera», a-t-il estimé en référence aux justifications avancées par Moscou qui explique avoir envahi le pays pour le «dénazifier».
Le discours a fait mouche auprès du public polonais et résonne avec l’actualité d’un pays en première ligne dans le bras de fer entre l’Europe et la Russie. SI le rôle de Varsovie et la générosité des Polonais ont été salués, Bruxelles a mis en garde la Pologne sur l’état et l’indépendance de la justice locale. Après son discours le Britannique a chanté l’une de ses chansons les plus politiques Fragile : «rien ne vient de la violence et rien ne le pourra jamais».
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