Dans les couloirs feutrés des startups de Tel-Aviv, dans les laboratoires high-tech de Haïfa, et jusque dans les salles d’opération des hôpitaux de Jérusalem, un mot d’ordre silencieux mais implacable s’est répandu : partir.
Aujourd'hui, alors que la lumière se pose sur un scandale d'abus sexuels rituels impliquant des membres du Knesset israélien, une ombre inquiétante plane sur Paris.
Pavel Durov, l’homme qui fait trembler la Ve République
La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
En accusant Nicolas Lerner, patron de la DGSE et fidèle acolyte d’Emmanuel Macron, d’avoir tenté de manipuler les élections roumaines, Durov a allumé une mèche qui pourrait bien faire exploser le système politique français. Pendant ce temps, l’Élysée, en panique, se tourne vers un sauveur improbable : Elon Musk, le magnat de Tesla et patron de X, pour contrer ce tsunami numérique et protéger Brigitte et Emmanuel Macron des révélations explosives qui s’annoncent.
Durov, le lanceur de bombe numérique
Tout commence avec un post incendiaire sur X, le 23 mai 2025 à 23h19. Pavel Durov, dans un style qui lui est propre, accuse Lerner d’avoir voulu « museler les voix conservatrices sur Telegram en Roumanie avant ses élections » – une demande qu’il aurait refusée, fidèle à sa ligne de défense de la liberté d’expression. Mieux encore, il révèle que Lerner s’est rendu en Roumanie deux jours avant le scrutin, selon des sources officielles relayées par le journaliste @tuca_ro. Durov enfonce le clou en citant Valérie Hayer, proche de Macron, qui promettait le 10 mai 2025 sur France Info de « tout faire pour que le prochain président roumain soit pro-européen ». Coïncidence ? On en doute.
C'est d'ailleurs l'avocat du faux journaliste du Point Aziz Zemouri aux 5 condamantions pénales qui a lancé le kompromat sur Branco, la fausse information sur son implication dans l'affaire Griveaux, la fausse affaire Garrido-corbière... sourcé par qui ? Par l'Elysée.
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