Dans l’ombre imposante de Bernard Arnault, l’homme le plus riche d’Europe et patron incontesté de LVMH, ses enfants gravissent les échelons du géant du luxe avec une assurance qui frise l’arrogance.
De Paris à Nashville, le clash explosif : Brigitte Macron porte plainte contre Candace Owens pour des allégations sur son "passé masculin", mais l'Américaine contre-attaque avec des arguments juridiques imparables.
Dans un contexte de tensions exacerbées par le conflit ukrainien, la déclaration récente de Dmitri Medvedev, vice-président du Conseil de sécurité russe, élève les enjeux en menaçant explicitement d'actions extrajudiciaires contre les leaders européens impliqués dans la saisie d'actifs russes.
Quand Nick Knight, photographe, réalisateur et créateur de ShowStudio dénonce la politique d’instagram à l’égard de la nudité féminine, ça « buzz » forcément. C’est via le compte d’une « instagrameuse » pur jus, qui officie sous le pseudo de Erotic-n-texas, que Nick Knight a poussé son coup de gueule pour montrer à quel point les femmes doivent être « photoshopées » pour se conformer aux règles de la censure qui selon lui, « diabolise le corps des femmes ». Pour lui, « le corps n’est pas un péché et les hommes et les femmes devraient être encouragés à se sentir fiers de leurs corps ». Cette attitude « médiévale » soulève la question de « catégorisation » des comptes instagram et de manière générale de toutes les applications téléchargeables sur l’Apple store. Lorsque l’on sait qu’instagram va bientôt remplacer Condé Nast, on comprend qu’un photographe de mode qui vit de la nudité soit autant impliqué car évidemment, cette censure et l’imposition d’un âge obligatoire va être susceptible de faire baisser les audiences. Concernant la jeune fille erotic-n-texas, il n’y a qu’a aller voir sur son compte pour comprendre qu’effectivement elle doit redoubler d’imagination pour publier ses autoportraits de nus, mais on est aussi en droit de se poser la question si c’est réellement un mal, car ses techniques de retouches créent des images assez particulières qui deviennent en elles-mêmes beaucoup plus intéressantes que si l’on voyait l’intégralité de ses parties intimes. Car après tout, Instagram et ses milliers de comptes de filles à poils participent aussi à créer un mal-être chez la plupart des jeunes filles qui ne peuvent pas se mettre en scène. Imposer quelques règles au réseau qui utilise la vacuité contemporaine comme vecteur de communication de soi-même n’est peut-être pas une si mauvaise chose finalement. Mais encore une fois à vous de juger.
Cécile Montigny conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout.
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