Pfizer, FDA, CDC ont caché des dommages sur la qualité du sperme masculin, à partir d’ingrédients de vaccins à ARNm

Les propres documents de Pfizer et d’autres études médicales montrent que les ingrédients du vaccin à ARNm peuvent être transférés d’une personne à une autre par le biais de fluides corporels, par contact peau à peau, par inhalation ou par rapport sexuel. C’est-à-dire que la « diffusion » du vaccin peut se produire par contact sexuel, y compris par exposition au sperme.

Lire aussi : Est-ce que la protéine Spike se transmet sexuellement d’un vacciné à un non vacciné ? Le Dr Benoit Ochs répond.

À l’attention des hommes, pour un consentement dit éclairé, en d’autres termes, selon les propres documents internes de Pfizer, un homme vacciné peut exposer ses partenaires sexuels aux ingrédients du vaccin, via l’éjaculation. D’autant plus que Pfizer n’a pas testé la « toxicité pour la reproduction masculine ». La toxicité pour la reproduction masculine est définie comme des effets indésirables (impacts négatifs) liés à la fonction sexuelle et à la fertilité chez l’homme adulte. Pfizer n’a pas non plus testé les effets indésirables du sperme des hommes vaccinés sur le développement de leur progéniture. Les ingrédients du vaccin à ARNm voyagent dans tout le corps et se rassemblent dans les organes, y compris dans les testicules. Un effet indésirable connu, lié à cette forme de vaccination, est que les vaccins à ARNm produisent des « anticorps anti-spermatozoïdes », c’est-à-dire des anticorps qui traitent le sperme comme un « envahisseur » et l’endommagent ou le tuent. Les vaccins à ARNm provoquent une chute vertigineuse de la concentration de sperme et du nombre total de motiles… Donc, en supprimant la discussion de ces informations, les agences de santé publique, les professionnels de la santé et les gouvernements du monde entier ont nié et continuent de refuser aux hommes (autant qu’aux femmes) un véritable consentement éclairé.

Forcément, les hommes de l’essai Pfizer acceptaient de s’abstenir de rapports hétérosexuels avec des femmes en âge de procréer ou bien, s’ils avaient des rapports avec des femmes susceptibles d’avoir des enfants, ils acceptaient d’utiliser un préservatif et étaient conseillés d’ajouter une méthode supplémentaire efficace de contraception. Les constructions de l’étude de Pfizer concernant l’abstinence totale de relations sexuelles avec des femmes susceptibles d’avoir des enfants, ou bien l’utilisation à la fois de préservatifs et d’autres moyens de contraception, suggèrent que Pfizer soupçonnait que l’éjaculat des hommes vaccinés pouvait affecter à la fois les femmes et les enfants à naître, conçus pendant l’essai ou après…

RASSURANT, NON ?

Lire aussi : Est-ce que la protéine Spike se transmet sexuellement d’un vacciné à un non vacciné ? Le Dr Benoit Ochs répond.

Pfizer, FDA, CDC ont caché des dommages prouvés à la qualité du sperme masculin, à la fonction des testicules, à partir d’ingrédients de vaccins à ARNm : https://behindthefdacurtain.substack.com/p/pfizer-fda-cdc-hid-proven-harms-to

Pour mémoire, cette étude israélienne montre une réduction significative de la motilité des spermatozoïdes (~20%) chez les jeunes hommes plusieurs mois (!) après avoir reçu leur injection Pfizer (Juin 2022).

« Je ne dis pas que si vous prenez ces vaccins, cela causera l’infertilité, mais je dirai qu’aucun des fabricants ne devrait vous donner la moindre assurance que ce ne sera pas le cas. » Mike Yeadon

Il a été démontré que le vaccin COVID-19 de Pfizer « altère la concentration de sperme » pendant 3 mois après la vaccination (juste à temps avant le prochain rappel…). La vaccination augmente donc l’infertilité chez les hommes. Cette étude israélienne montre une réduction significative de la motilité des spermatozoïdes (~20%) chez les jeunes hommes plusieurs mois (!!!) après avoir reçu leur injection Pfizer.

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/andr.13209

Ce papier est un peu étrange. Même si les chercheurs ont déclaré que « le pronostic à long terme reste bon », la prétendue « récupération » ne résulte pas clairement dans les données disponibles….

« Il rapporte que chez les donneurs de sperme, le nombre de spermatozoïdes chute entre 75 jours et 150 jours après la vaccination, mais qu’il se rétablit à plus de 150 jours après la vaccination. Cependant, le tableau 2, qui rapporte apparemment les moyennes de tous les échantillons prélevés, montre que le nombre de spermatozoïdes ne se rétablit en fait pas, que la diminution par rapport à la ligne de base avant la vaccination est de 22% à 75/150 jours, et elle est de 19% au-dessus des 150 jours. Seule la médiane revient près de la ligne de base…

Si la médiane et la moyenne divergent, cela signifie que la distribution est asymétrique ou bimodale. La médiane va avec la majorité, qui semble donc se redresser, mais la moyenne restant faible suggère qu’une minorité ne se redresse pas et peut même descendre davantage.

Il n’y a aucune information sur le mécanisme, ils l’attribuent à une « maladie fébrile » après la vaccination, mais il n’y a pas de données sur les niveaux d’hormones, et rien non plus sur les effets cytotoxiques directs sur les cellules productrices de sperme dans les testicules. L’attribution causale n’est donc qu’une spéculation. Mais si leur interprétation est correcte, alors la divergence des deux groupes (récupéré vs non récupéré) serait cohérente avec la survenue d’une inflammation à long terme dans la minorité non récupérée. Il reste à déterminer dans quelle mesure cette inflammation est localisée dans les testicules. » via https://t.me/Doctorsforcovidethics/599

Dépeuplé grâce à des programmes de vaccins stérilisants ? via https://t.me/vivrecorrectement/3742