En pleine crise démographique – avec seulement 663 000 naissances en 2024 et un indice de fécondité tombé à 1,62 enfant par femme, une étude récente met en lumière le paradoxe cruel de la parentalité en France : un bonheur profond, mais souvent éclipsé par un épuisement extrême.
En cette veille de Noël 2025, alors que les stablecoins dépassent les 300 milliards de dollars de capitalisation et que le GENIUS Act, signé par le président Trump en juillet, ouvre la voie à une régulation claire des dollars numériques, un buzz intense entoure le prétendu lancement de X Payments.
Un an avant d’être abattu en public d’une balle dans le cou devant des milliers de personnes, Charlie Kirk animait une émission où il défendait ardemment la peine de mort « publique, rapide et télévisée ». À ses côtés, un invité prénommé Tyler évoquait des exécutions historiques impliquant le cou.
Quand Nick Knight, photographe, réalisateur et créateur de ShowStudio dénonce la politique d’instagram à l’égard de la nudité féminine, ça « buzz » forcément. C’est via le compte d’une « instagrameuse » pur jus, qui officie sous le pseudo de Erotic-n-texas, que Nick Knight a poussé son coup de gueule pour montrer à quel point les femmes doivent être « photoshopées » pour se conformer aux règles de la censure qui selon lui, « diabolise le corps des femmes ». Pour lui, « le corps n’est pas un péché et les hommes et les femmes devraient être encouragés à se sentir fiers de leurs corps ». Cette attitude « médiévale » soulève la question de « catégorisation » des comptes instagram et de manière générale de toutes les applications téléchargeables sur l’Apple store. Lorsque l’on sait qu’instagram va bientôt remplacer Condé Nast, on comprend qu’un photographe de mode qui vit de la nudité soit autant impliqué car évidemment, cette censure et l’imposition d’un âge obligatoire va être susceptible de faire baisser les audiences. Concernant la jeune fille erotic-n-texas, il n’y a qu’a aller voir sur son compte pour comprendre qu’effectivement elle doit redoubler d’imagination pour publier ses autoportraits de nus, mais on est aussi en droit de se poser la question si c’est réellement un mal, car ses techniques de retouches créent des images assez particulières qui deviennent en elles-mêmes beaucoup plus intéressantes que si l’on voyait l’intégralité de ses parties intimes. Car après tout, Instagram et ses milliers de comptes de filles à poils participent aussi à créer un mal-être chez la plupart des jeunes filles qui ne peuvent pas se mettre en scène. Imposer quelques règles au réseau qui utilise la vacuité contemporaine comme vecteur de communication de soi-même n’est peut-être pas une si mauvaise chose finalement. Mais encore une fois à vous de juger.
Cécile Montigny conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout.
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