La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Selon une source proche du dossier, il s’agissait de photos et de vidéos « abominables » d’enfants victimes de viols. Un personnel de l’ambassade de France au Sénégal, située à Dakar, a été interpellé à l’aéroport de Roissy, samedi 12 février, par les enquêteurs de l’OCRVP (Office central pour la répression des violences aux personnes) qui le soupçonnent d’avoir échangé sur Internet de nombreux fichiers à caractère pédopornographiques. A l’issue de sa garde à vue, cet homme de 58 ans, jusqu’ici inconnu des services de police, a été mis en examen et placé en détention provisoire, apprend 20 Minutes. Une information judiciaire a été ouverte.
Ce sont les policiers de la brigade des mineurs de la police judiciaire parisienne qui ont en premier repéré les activités illicites du suspect sur Internet. Les enquêteurs, qui surveillent les réseaux peer-to-peer, se sont aperçus que cet individu échangeait de « grandes quantité » de fichiers mettant en scène des enfants victimes de viol. Son adresse IP est identifiée. Elle mène les policiers à cet homme, administrateur réseau à l’ambassade de France au Sénégal. Les faits ayant été commis en dehors de leur juridiction, les policiers parisiens transmettent le dossier à leurs collègues de la DCPJ (direction centrale de la police judiciaire), précisément aux enquêteurs de l’OCRVP.
Ces derniers apprennent que le suspect doit rentrer à Paris. Son vol arrive à Paris, à l’aéroport Charles de Gaulle. A sa descente de l’avion, il est interpellé et placé en garde à vue. Il a été mis en examen le 15 février des chefs de détention, diffusion, mise à disposition, enregistrement, importation de fichiers à caractère pédopornographique, consultation habituelle de sites à caractère pédopornographique, corruption de mineurs de 15 ans. Par ailleurs, le suspect a été placé sous le statut de témoin assisté du chef d’atteinte à la vie privée. Il a été placé en détention provisoire.
L’enquête se poursuit désormais sous l’autorité d’un juge d’instruction. Elle vise notamment à déterminer si cet homme a pu, lui-même, abuser d’enfants. « Une procédure judiciaire est en cours qu’il ne nous revient pas de commenter », explique à 20 Minutes un porte-parole du Quai d’Orsay. « S’agissant de sa situation administrative, les mesures conservatoires nécessaires ont été prises, compte tenu des accusations extrêmement graves qui pèsent sur cet agent et de son incarcération. »
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.