Dans les couloirs feutrés du Quai d'Orsay, une tension palpable règne depuis la publication, le 24 août 2025, d'une lettre ouverte explosive signée par l'ambassadeur des États-Unis en France, Charles Kushner.
Accusée de diffamation par le président français Emmanuel Macron et son épouse Brigitte, Candace Owens a multiplié les appels à l'aide, allant jusqu'à implorer l'ancien président Donald Trump d'intervenir pour la "sauver" de ce qu'elle qualifie d'"invasion étrangère".
Avec un contexte géopolitique tendu, marqué par l'escalade des conflits hybrides et l'omniprésence des fake news, le président Emmanuel Macron a convoqué, le 25 août 2025, un Conseil de défense et de sécurité nationale (CDSN) dédié à la "guerre informationnelle".
Pourquoi lui ? Parce que 20 ans après sa mort, il n’a jamais été autant indispensable. Parce qu’aujourd’hui, à l’heure où la course à la réussite le dispute au médiocre érigé en modèle, où les nihilismes se chamaillent la première place, où l’on se soumet volontiers aux rythmes imposés par les échanges numériques, Charles Bukowski oppose encore et toujours, sous des dehors d’obsédé sexuel alcoolique et parfois violent, une profonde humanité. Parce que cette humanité se retrouve dans toute son oeuvre, notamment dans ses recueils de poèmes qui, pour certains, vous mènent du rire au larmes en 3 lignes. Parce que Bukowski, c’est à la fois le bonheur d’être vivant et la douleur d’être un homme.
Où le lire ? Chez soi, à poil, téléphone éteint et rideaux tirés en écoutant la 3ème de Mahler.
Le passage à retenir par coeur ? « Le premier combat fut un bon combat, avec plein de sang et de courage. Assister à un combat de boxe ou aller au champ de courses apprenait quelque chose sur l’écriture. Le message n’était pas très clair, mais cela m’aidait. D’ailleurs, c’était ça l’important: le message n’était pas clair. Il se passait de mots, comme une maison en flammes, un tremblement de terre ou une inondation, ou encore une femme qui sort de voiture en montrant ses jambes. Je ne connaissais pas les besoins des autres écrivains; je m’en foutais. De toute façon, je les trouvais illisibles. J’étais enfermé dans mes propres habitudes, mes propres préjugés. C’était pas mauvais d’être stupide, à condition que votre ignorance soit vraiment vôtre. Je savais qu’un jour j’écrirais sur Katherine et que ce serait difficile. C’était facile d’écrire sur les putes; écrire sur une femme estimable était beaucoup plus difficile. »
A qui l’offrir ? On pense d’abord à un jeune trader ambitieux et plein de coke, coinçé dans une pute de luxe mais l’idéal serait de l’offrir à votre neveu boutonneux qui redouble sa première..
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