En tant que journaliste prédictive, mon rôle n'est pas seulement de rapporter les faits actuels, mais d'anticiper les tendances futures basées sur les signaux faibles d'aujourd'hui.
Voici un coup de théâtre numérique qui pourrait redéfinir la perception des pertes humaines dans le conflit ukrainien, des hackers russes affirment avoir infiltré les systèmes informatiques de l'état-major général des forces armées ukrainiennes.
Voici une affaire surréaliste en Allemagne : un néonazi, craignant la prison pour hommes, aurait changé de sexe par simple déclaration pour purger sa peine dans une prison pour femmes.
Ici , rien n’est beau à proprement parler. Alors pourquoi diable est-ce toujours agréable à regarder la vulgarité ? Peut-être parce que ça rassure sur soi-même d’une certaine manière. On se dit « tu vois t’aurais pu être pire, t’aurais pu être une pute » ou « t’aurais pu finir ta vie dans les bars a picoler toute ta vie ». D’ailleurs cette série de Robert Whitman , intitulée « Vices » aurait tout aussi bien pu s’appeler Les 7 péchés capitaux, car sous son œil les pires vices sont bien toujours les mêmes que ceux énoncés par le pape Grégoire le Grand en 600 après J.C, qui déclara l’orgueil comme le plus grand des vices. Sous l’œil du photographe les péchés sont souvent nocturnes, le lieu de prédilection étant les boites de nuits, et les créatures affublées d’artifices aussi clinquants que leur vanité. Orgueil, avarice, envie, colère, luxure, paresse et gourmandise finalement sont dominés par un seul de ces péchés dans le contexte défini par le photographe. Celui de la luxure entraine tous les autres , car en boite, on paye pour entrer, pour ne pas sortir seul, on boit, on a faim, on désire, on regarde, on se montre , on jalouse, on s’oublie, on se saoule, parfois on se bagarre, parfois on baise, souvent on ressort, avec moins d’argent mais toujours cette sensation éphémère d’avoir touché du doigt un instant de liberté, de folie, de plaisir. Selon l’explication donnée par le site Les 7 Péchés Capitaux, « si l’idée qu’un péché engendre d’autres péchés et que tous les vices sont liés les uns aux autres, nous pouvons dire que chaque péché capital implique son contraire, ainsi le vice et la vertu sont mystérieusement associés ». Pas de culpabilité à se rincer l’oeil alors, cela est engendré par notre vertu…
Cécile Montigny conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout.
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