La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Les équipes de la marque VETEMENTS lisent apparemment avec beaucoup d’intérêt le travail de Steve Oklyn, de Mark Even et du collectif [SIGNED] 99% YOUTH. Emprunter des concepts c’est bien mais les comprendre c’est mieux. Parce qu’il y a une différence profonde entre l’utilisation que fait Mark Even du briquet BIC dans son œuvre en hommage aux victimes du Bataclan par rapport à l’utilisation qu’en fait la marque VETEMENTS, destinée simplement à créer un produit de consommation.
Autrement dit, quand Mark Even utilise le symbole de la lumière allumée pour commémorer les événements du 13.11, il est significatif, mais lorsque VETEMENTS utilise l’image d’un briquet BIC comme le talon d’une chaussure, le seul but de l’acte radical est de créer l’ achat d’un produit. L’utilisation que fait VETEMENTS de ce symbole n’a pas de sens. C’est d’ailleurs toujours ce qu’il se passe lorsque les idées révolutionnaires sont absorbées par la mode, elles perdent toute signification.
En même temps, qu’est-ce que la marque VETEMENTS, si ce n’est un mélange étrange entre le Porno, Poutine et la Pop. Sous cet angle, il est évident que le président du groupe KERING qui possède BALENCIAGA va dépenser une fortune pour la promotion dans le monde entier de ce nouveau bloc soviétique qui se cache derrière la marque. Comme l’explique Steve Oklyn :
Il existe actuellement une réelle bataille entre le symbole poétique de l’art, qui revêt un sens profond et des associations culturelles pures. Les images créées par le monde de la mode, ne sont qu’une propagande de surface dépourvue de toute signification et manquant totalement de pertinence culturelle. L’art est, dans de nombreux cas, un miroir de la société. Le monde de la mode 2.0, est basé sur le logiciel qui se trouve derrière un miroir noir et brisé.
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.