Le 6 juin 2025, le réseau social X et la plateforme de marchés prédictifs Polymarket ont officialisé un partenariat stratégique qui pourrait redéfinir la manière dont nous percevons et utilisons les informations en ligne.
Dans un paysage audiovisuel français (PAF) déjà saturé de promesses non tenues, T18 s’est lancée avec l’ambition autoproclamée de dépoussiérer la télévision. Résultat ? Une catastrophe retentissante qui, dès ses premiers pas, a transformé cette nouvelle chaîne en cible privilégiée des moqueries.
Provocateur, magnifique, dérangeant : Eddington n’épargne personne, ni ses personnages ni ses spectateurs. Aster livre une œuvre magistrale qui fait voler en éclats les conventions et les critiques timorées.
Une fille stellaire, une fille solaire qui s’accroche à la lune et débarque sur une terre inconnue, un sol non foulé, immaculé comme sa tenue blanche.
Est-ce la fin du réel, le début d’un rêve ?
Le nouveau film Vanessa Buno réalisé par Stéphanie Di Giusto offre un visage, celui de Kate Bosworth. Elle habite une maison irréelle, posée là dans le désert d’un espace temps improbable, où tout devient possible, comme défier l’apesanteur et le temps.
Son passé ressurgit. Il est léger et inconscient : une main d’enfant qui caresse son visage, une piscine sous le soleil de la Californie, des rires, des vies.
Kate fonce et ne se retourne plus, il y avait les souvenirs et maintenant il y a l’horizon, l’avenir à inventer, à imaginer, comme dans un conte futuriste. Elle se révèle enfin à la lune, telle une jeune femme messie illuminée d’une pensée tellurique.
Au-delà de cet onirisme, le film est à l’image de la collection Vanessa Bruno, une candeur de ton dont l’enveloppe – la douceur nacrée des vêtements – s’exile au-delà des contingences du quotidien.
Un style, une mode en guise de protection solaire contre une grisaille environnante dont la silhouette et le visage de l’actrice Kate Bosworth rayonnent d’espoir.
Un film en apesanteur où l’imaginaire règne et sauvegarde une pureté que rien n’entrave. Une fille la tête dans la lune, qui s ‘accroche à ses rêves. Ou direction les étoiles ?
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Dans l'élégante avenue Montaigne, au cœur de Paris, une bataille d'héritiers fait trembler les fondations du navire amiral de Gucci. Ce conflit familial, opposant les propriétaires de l'immeuble qui abrite la boutique emblématique de la marque, menace d'entraîner une hausse de loyer pour Gucci.
Dans un monde où la mode a longtemps été célébrée comme un moyen d'expression personnelle, une nouvelle narration émerge, suggérant que les tendances actuelles sont bien plus qu'une simple question de style.
En 1967, une boîte blanche, sobre et énigmatique, bouleversait les frontières de l’art. Aspen 5+6, conçue par l’artiste irlandais Brian O’Doherty, n’était pas une simple revue : c’était une œuvre totale, un manifeste audacieux qui redéfinissait ce que l’art pouvait être.
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