Dans un scandale qui ébranle les fondations de la protection de l'enfance en France, de nouvelles révélations émergent sur l'affaire Pierre-Alain Cottineau, un ancien militant de La France Insoumise (LFI) soupçonné d'avoir orchestré un réseau pédocriminel d'une violence inouïe.
Dans une vidéo choc publiée ce matin sur sa chaîne YouTube, l'économiste renommé Marc Touati, président du cabinet ACDEFI et suivi par plus de 234 000 abonnés, tire la sonnette d'alarme sur les mesures budgétaires dévoilées la veille par le Premier ministre François Bayrou.
Alors que l'avocat controversé Juan Branco fait face à une procédure disciplinaire pouvant mener à sa radiation du barreau de Paris, un rassemblement de soutien prévu demain, le 16 juillet, devant la Maison du Barreau, suscite des tensions avec les autorités.
Une majorité contre la surveillance de masse D’après un sondage réalisé dans 13 pays, 71% des personnes interrogées sont opposées à ce que les Etats-Unis surveillent leur usage d’internet. Dans les pays des « Cinq yeux », les personnes s’opposant à la surveillance américaine (70 %) sont plus de trois fois plus nombreuses que celles qui la soutiennent (17 %). Même en France, le pays où l’opposition à la surveillance est la moins forte, la majorité des sondés (56 %) restent hostiles à une surveillance indiscriminée exercée par les Etats-Unis ou par leur propre gouvernement.
Une majorité pour la transparence et la protection des libertés Des gouvernements tentent de justifier l’interception systématique et indiscriminée de données personnelles par le soutien des citoyens face à une menace terroriste. Le sondage révèle au contraire une hostilité nette à de telles intrusions dans la vie privée. La nécessite de supervision par une entité indépendante de toute surveillance d’internet fait également l’objet d’un quasi consensus.
Un monde post-Snowden
Nos gouvernements surveillent tout ce que nous faisons sur Internet. Les documents qu’Edward Snowden a publiés il y a deux ans ont révélé que des agences de sécurité des Etats-Unis recourent à la surveillance de masse pour rassembler, stocker et analyser des millions de communications privées à travers le monde.
« Nous avons des agences qui entrent dans la chambre à coucher des gens en passant par leur webcam. Et elles rassemblent chaque jour plusieurs milliards de données de localisation de téléphones portables. Elles savent quand vous prenez le bus, où vous êtes allé au travail, où vous avez dormi, et quels autres téléphones portables ont passé la nuit chez vous. » Edward Snowden
Nos responsables politiques nous disent qu’ils ont besoin de pouvoirs renforcés en matière d’espionnage pour pouvoir attraper les « terroristes ». Rien ne prouve cependant que la surveillance de masse les y aidera. Dans les années précédant les attentats parisiens, les services de sécurité avaient identifié les suspects comme des menaces potentielles, avant de les exclure de leur liste. Aucune masse de données personnelles, aussi vaste fût-elle, n’aurait pu y changer quoi que ce soit.
Qui plus est, en surveillant de la sorte les populations, les États tournent le dos à des principes de droit de longue date. Ils considèrent tous leurs citoyens comme des malfaiteurs présumés et jugent le moindre détail de notre vie privée suspect.
« Quand nous vivons dans une période de conflit, où nous sommes confrontés à de graves menaces étrangères, il est important de protéger nos valeurs. Car c’est dans ces périodes de panique que l’on perd des droits. » Edward Snowden
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
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