638 000 dollars, des dîners annuels, une mailing-list privée avec Musk, Bezos, Brin, Page, Gates et Zuckerberg. Pendant que la décennie où il recrutait des mineures, Jeffrey Epstein était le plus gros donateur du think tank le plus prestigieux de la tech mondiale.
Imaginez un instant : nous sommes en 2026, et Macron, lassé des critiques acerbes sur les réseaux sociaux, décide de franchir le Rubicon numérique. Inspiré non pas par les Lumières, mais par Pékin, il déploie un arsenal high-tech pour "protéger la démocratie républicaine".
En ce début décembre 2025, alors que l’hiver s’installe avec son cortège de froid et de repli, une nouvelle affaire secoue les fondations déjà fissurées de la magistrature française.
Nathanaël a la vie rêvée : créatif dans une agence de communication, a un très bon salaire, travaille avec des amis, vient en short au bureau, les yeux encore gonflés des excès de la veille. Quand sa boîte ferme brutalement, il tombe de très haut. Et décide d’assumer son nouveau statut : il est bomeur, ‘un mec qui avait un boulot cool et qui, une fois au chômage, essaie de rester cool ‘. Son quotidien ? Lever à 11 heures après trois alarmes iPhone, déjeuner avec un ami qui bosse, café pour discuter d’un plan avec un pote graphiste, petite sieste, tour aux ventes privées Nike et déjà, il est 17 heures, l’heure de l’apéro, histoire de faire monter la pression avant d’aller mixer au Nuba. Il assure à ses proches qu’il s’apprête à se lancer en freelance sur des projets ‘ultra-confidentiels-tu-comprends-je-ne-peux-pas-en-parler ‘. La vérité ? Une addiction à Facebook, au Ricard, au rafraîchissement de sa boîte mail et aux textos ‘Tu fais quoi ? ‘Car en réalité, sa vie est moins rose qu’il le montre. Auprès des filles, se déclarer chômeur, c’est moins efficace que ‘directeur de créa’. Ses parents s’inquiètent, ses amis construisent leur vie, et Monsieur Pôle Emploi parle une langue étrangère… Pas facile d’être un bomeur heureux.
Le bomeur. Une vie de bobo chômeur de Nathanaël Rouas. Editeur : Robert Laffont
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
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