La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Nathanaël a la vie rêvée : créatif dans une agence de communication, a un très bon salaire, travaille avec des amis, vient en short au bureau, les yeux encore gonflés des excès de la veille. Quand sa boîte ferme brutalement, il tombe de très haut. Et décide d’assumer son nouveau statut : il est bomeur, ‘un mec qui avait un boulot cool et qui, une fois au chômage, essaie de rester cool ‘. Son quotidien ? Lever à 11 heures après trois alarmes iPhone, déjeuner avec un ami qui bosse, café pour discuter d’un plan avec un pote graphiste, petite sieste, tour aux ventes privées Nike et déjà, il est 17 heures, l’heure de l’apéro, histoire de faire monter la pression avant d’aller mixer au Nuba. Il assure à ses proches qu’il s’apprête à se lancer en freelance sur des projets ‘ultra-confidentiels-tu-comprends-je-ne-peux-pas-en-parler ‘. La vérité ? Une addiction à Facebook, au Ricard, au rafraîchissement de sa boîte mail et aux textos ‘Tu fais quoi ? ‘Car en réalité, sa vie est moins rose qu’il le montre. Auprès des filles, se déclarer chômeur, c’est moins efficace que ‘directeur de créa’. Ses parents s’inquiètent, ses amis construisent leur vie, et Monsieur Pôle Emploi parle une langue étrangère… Pas facile d’être un bomeur heureux.
Le bomeur. Une vie de bobo chômeur de Nathanaël Rouas. Editeur : Robert Laffont
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.