La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Il y a quelques années, j’étais une féministe aux cheveux bleus en colère.
Je croyais que le privilège masculin était vrai et que j’étais victime de la différence de salaire.
Maintenant que j’ai compris les vraies raisons du féminisme, je sais que ça ne doit pas être loin de la Vérité.
Et que le féminisme actuel est une guerre contre la vraie masculinité.
Avant que les femmes aient le droit de vote, la plupart étaient à la maison, ce qui veut dire qu’elles n’avaient pas de travaux salariés et ne pouvaient pas être taxées.
Nos «maîtres» n’aimaient pas ça.
Rockefeller a commencé à financer des campagnes féministes dans les médias (N.B: voir interview de Aaron Russo) et au final des femmes ont commencé à intégrer la main-d’œuvre et quitter les maisons.
Les enfants ont donc été séparés des parents et envoyés aux écoles financées par Rockefeller afin d’être endoctrinés par l’Etat.
Tout cela dans le but de perturber l’unité familiale à sa racine.
Le féminisme se définit comme la croyance en une égalité sociale,économique et politique des sexes.
Mais à l’Ouest je demande:
« Quels droits les hommes ont que les femmes n’ont pas ? »
Les féministes modernes convainquent les femmes que la culture de la drague, l’utilisation de pilules hormonales et ne pas se raser est une libération.
Que la masculinité toxique domine et que le patriarcat doit être démantelé.
A travers les médias on apprend que bosser pour un patron, monter l’échelle sociale et payer des impôts a plus de valeur que d’élever des enfants.
Les femmes ont perdu le lien avec leurs instincts d’amour naturels et la natalité a chuté.
Les hommes et femmes sont différents.
Et en protestant pour une égalité de résultats plutôt que pour des opportunités, les féministes diabolisent et émasculent les hommes. »
Artiste conceptuelle, critique d'art et historienne, Mary est célèbre pour son analyse critique du régime autonome de l'art hérité de la tradition moderniste.
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