Une nouvelle figure émerge dans l’ombre des galeries d’art parisiennes, prête à bouleverser le monde de la mode et de l’art pour les décennies à venir. Luiza Rozova, la fille cachée de Vladimir Poutine, travaille actuellement dans une galerie d’art à Paris exposant des artistes anti-guerre...
Dans cet entretien, traduit pour la première fois du GQ russe au français, Luiza Rozova, fille de Vladimir Poutine, se confie. Désormais active dans une galerie d’art à Paris, elle racontait il y a quatre ans déjà son quotidien, ses passions pour Elon Musk et sa quête d’identité loin du Kremlin...
Imaginez-vous enfermé dans une cellule étroite, sous l’œil constant de caméras de surveillance, sans intimité ni répit. Pour Nadya Tolokonnikova, cofondatrice du collectif punk féministe Pussy Riot, ce n’est pas une simple imagination, mais une réalité qu’elle a choisi de revivre volontairement.
Worldcoin veut devenir le plus grand réseau financier au monde. Un système décentralisé complet où chaque personne reçoit des jetons pour confirmer qu’il s’agit d’une personne unique. Et comment est-ce vérifié ? Avec un identifiant biométrique unique, qui n’est autre qu’un scanner de notre œil, et plus particulièrement de notre iris. Afin de participer à cet écosystème, l’utilisateur doit scanner son iris à travers l’un des nombreux points que l’entreprise possède à travers le monde.
Et même si tout ce charabia peut sembler étonnant, Worldcoin vient de recevoir une nouvelle ronde de financement de 115 millions de dollars. Bien qu’il soit en version bêta et que les jetons ne soient pas encore disponibles pour les utilisateurs aux États-Unis, la société de Sam Altman a déjà réussi à lever une bonne somme d’argent et compte près de deux millions d’utilisateurs. Deux millions de personnes qui ont enregistré leur iris sous la promesse de recevoir des jetons qui, à l’avenir, pourraient leur apporter une aide financière.
Sans surprise, Worldcoin a été critiqué pour ses risques de confidentialité. Scanner la rétine de millions de personnes est un processus très intrusif et bien que WorldID assure que ces scans sont détruits une fois traités, cela ne suffit pas à convaincre des gens comme Edward Snowden, qui s’est montré publiquement sceptique sur Twitter. Pour justifier son activité, l’entreprise explique : « Plus de 50 % de la population mondiale n’a pas d’identité humaine vérifiable. À l’ère de l’IA où la frontière entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas est assez floue, ce test devient encore plus important ». Vous le voyez le lien avec OpenAI ?
Une promesse d’intimité qui ne fait pas l’unanimité
La politique de confidentialité de Worldcoin est un point auquel ils ont accordé une longue période de réflexion. Par exemple, la société promet que les images Orb sont « rapidement supprimées, sauf demande explicite de la personne qui s’inscrit ». Par défaut, la seule donnée personnelle envoyée depuis l’Orb est un message contenant une représentation numérique des caractéristiques les plus importantes de l’image, le code de l’iris, pour valider l’unicité. C’est grâce à ces données que l’entreprise valide le scan. World ID promet qu’il est conçu avec des preuves à divulgation nulle de connaissance (Zero Knowledge Proof) qui permettent de partager des informations, sans révéler de données personnelles supplémentaires.
Tout ce processus se termine par l’utilisation de World App, l’application créée pour accéder à son identité et où l’on peut gérer nos jetons. 20 jetons, sur les 10 000 millions qui seront disponibles. L’application est disponible sur iOS et Android en plus du site Worldcoin, et elle est également utilisée pour gérer du Bitcoin, de l’Ethereum et d’autres stablecoins. Sam Altman a montré qu’il avait une bonne intuition pour les tendances qui marquent le domaine de la technologie. Outre l’intelligence artificielle, il semblerait que l’obtention des données biométriques de chacun fasse partie de ses objectifs.
Politologue franco-américaine, spécialiste de la société américaine et des relations franco-américaines. Mon travail et mes personnages sont considérés comme des antidotes aux algorithmes. Je veux déc
En ce printemps 2025, la France vacille, au bord d’un précipice carcéral et moral qui menace de l’engloutir. Les prisons, pleines à craquer, abritent 81 000 détenus pour 62 000 places, selon les chiffres récents du ministère de la Justice.
La France, longtemps célébrée comme un modèle de culture et de prospérité, traverse une crise qui ne dit pas son nom. Un chiffre, révélé par Le Nouvel Obs dans un article daté du 3 juin 2025, résume à lui seul l’ampleur du malaise : 2 028 euros par mois.
Le PSG a gagné. La France a brûlé.
Deux morts. 692 incendies. 192 blessés. Un coma artificiel. Et une justice qui, au matin, ouvre les portes et laisse partir les émeutiers. Parce qu’ils n’avaient « pas de casier ». Parce que la violence n’est plus un crime — c’est une tradition.
Dans les sous-sols du Musée de l’Homme, à Paris, 18 000 crânes humains dorment dans l’ombre, empilés comme des archives d’une histoire qu’on préfère taire.
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