La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Pourquoi lui ? Pour une raison qu’il faudra approfondir, la rentrée littéraire de janvier est marquée par la présence du père. Découvrir que Winston était un petit con devenu adulte, sorte d’Oscar Wilde punk, que seule la guerre a su révéler, et tout ça pour son père, voilà ce qu’on appelle un éclairage de l’histoire.
Où le lire ? Dans la salle d’attente de votre psy.
Incipit. « Longtemps sa vie n’a été qu’une préface – éperdue, illisible.»
Le passage à retenir par cœur. « Et maintenant ? Bon, une guerre, c’est affreux, mais il n’est pas si fâché que les faits lui donnent raison. Il a, croit-il, toutes les cartes en main. Dans la nuit, tous les navires de la flotte recevront l’ordre d’ouvrir les hostilités avec l’Allemagne. À lui de jouer – oui, la guerre est un jeu, vous ne le saviez pas ? D’ailleurs, rassurez-vous, c’est l’affaire d’un été, la saison idéale, si on aime l’exercice et le grand air. »
À qui l’offrir ? À votre père ou votre fils, au choix.
Tu seras un raté mon fils, Christophe Ferney, éd. Albin Michel, 249 p., 17 €
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