Imaginez un scénario où les Américains, longtemps victimes d'un système injuste, pourraient enfin payer leurs médicaments au même prix que les Européens – une réduction pouvant atteindre 800 % pour certains traitements essentiels.
Alors que les canons tonnent encore sur les fronts ukrainiens, des signes d'un possible cessez-le-feu émergent des coulisses diplomatiques. Selon des sources proches des négociations, la guerre en Ukraine, qui ravage l'Europe depuis plus de 3 ans, pourrait s'achever d'ici la fin de l'année 2025.
Dans le monde opaque de l'espionnage international, les "kompromats" – ces matériaux compromettants utilisés pour faire chanter des cibles – ne sont plus l'apanage exclusif des services russes.
Pourquoi lui ? Pour une raison qu’il faudra approfondir, la rentrée littéraire de janvier est marquée par la présence du père. Découvrir que Winston était un petit con devenu adulte, sorte d’Oscar Wilde punk, que seule la guerre a su révéler, et tout ça pour son père, voilà ce qu’on appelle un éclairage de l’histoire.
Où le lire ? Dans la salle d’attente de votre psy.
Incipit. « Longtemps sa vie n’a été qu’une préface – éperdue, illisible.»
Le passage à retenir par cœur. « Et maintenant ? Bon, une guerre, c’est affreux, mais il n’est pas si fâché que les faits lui donnent raison. Il a, croit-il, toutes les cartes en main. Dans la nuit, tous les navires de la flotte recevront l’ordre d’ouvrir les hostilités avec l’Allemagne. À lui de jouer – oui, la guerre est un jeu, vous ne le saviez pas ? D’ailleurs, rassurez-vous, c’est l’affaire d’un été, la saison idéale, si on aime l’exercice et le grand air. »
À qui l’offrir ? À votre père ou votre fils, au choix.
Tu seras un raté mon fils, Christophe Ferney, éd. Albin Michel, 249 p., 17 €
Inscrivez-vous pour recevoir les newsletters dans votre boîte mail. Des tribunes et débats de société + Des contenus originaux + Une information alternative et prédictive