La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Toute la nouvelle génération est maintenant au courant que l’art contemporain est une imposture mondiale. Une liquidité de plus fabriqué pour faire circuler de l’argent sans que les banques, les douanes ou le fisc ne demande jamais de rendu de compte.
Il est important de rappeler que l’art contemporain à le même âge que la société du spectacle de Guy Debord. Un demi-siècle. C’est donc dans les années 60, en pleine guerre froide, qu’à New York, s’est inventé institutionnellement et financièrement, un nouveau courant conceptuel, cassant les codes de l’art moderne, pour un usage essentiellement politique de l’art. La notion de beauté s’estompe alors pour laisser place au concept. On ne juge plus une œuvre esthétiquement mais conceptuellement.
Ça s’est appelé l’avant-garde jusqu’en 1975 et pour des raisons politiques ce courant conceptuel s’est appelé ensuite art contemporain. A la fin des années 90, l’art contemporain n’était déjà plus qu’un système et une organisation financière – créateur de valeur artificielle – mis en scène pour devenir un produit financier ultra-sécurisé. Il n’y a au maximum que 500 personnes qui décide de la valeur des œuvres sous la forme simple d’une entente commune. Ces 500 personnes que nous avons déjà en partie listés s’entendent sur le prix à donner à un objet.
Et c’est justement ce que démontre l’artiste Mark Even, même si il n’a que 16 ans. Lorsque l’on regarde son œuvre « TRAUMA » (dont le titre complet de l’œuvre est: « BLUNT FORCE TRAUMA ») la première d’une série d’œuvres intitulé: GO AHEAD MAKE MY DAY, on comprend immédiatement pourquoi Mark Even fait partie de génération de créateurs qui croient que l’art est dépassé. Qu’il faut passer au suivant. D’ailleurs le travail de Mark Even ne doit pas être vécu comme de « l’art » mais plutôt comme un « art-blocker ». En 2017, il y a les « ad-blocker » et maintenant grâce à Mark Even, il existe un « art-blocker ». Et c’est l’avenir, que ça plaise ou non aux collectionneurs d’un autre âge…
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.