La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
L’abstinence sexuelle appelée plus communément No sex est en passe de se généraliser. Dans un monde où tout à l’air incroyablement sexe, le phénomène « nouvelle chasteté » déboule avec autant de vigueur qu’un porno non désiré. L’hyper sexualisation ne serait donc qu’un leurre ? Un artifice illusoire pour tromper le tabou ? La question mérite d’être posée. Tout ne serait donc plus sexuel. N’en déplaise au Docteur Freud. L’abstinence devient un choix de plus en plus suivi. Le plaisir de la chair devient triste. Le regroupement communautaire des asexuels pourrait bien devenir la nouvelle norme de demain.
Nous n’en sommes qu’aux prémices pour ne pas dire aux préliminaires, les dossiers et articles de presse se multiplient, les livres revendicatifs comme le très remarqué « Contre l’érotisme » de Laurent De Sutter interroge. L’auteur explique en substance que notre société ne parle plus que de sexe pour cacher peut être la condamnation invisible de la révolution sexuelle. Le problème aujourd’hui n’étant pas que nous jouissons trop mais que nous jouissons mal. « L’Envie », le dernier roman au titre trompeur de Sophie Fontanel apporte aussi des précisions sur ce tabou aberrant qu’est la solitude sexuelle. Plutôt
que de la paraphraser autant la citer : « Sachant, qu’aujourd’hui, avec une femme, c’est ok pour faire l’amour le premier soir, c’est ok pour qu’éventuellement vous ne la rappeliez jamais, c’est ok pour regarder en même temps une vidéo porno, on ne sait plus quoi inventer. C’est même étonnant que les hommes n’aient pas essayé de mettre leur pénis dans une oreille ! Alors, ça ne m’étonne pas que les gens s’arrêtent, que tout d’un coup, ils appuient sur le frein. Si mon livre fait écho, c’est parce qu’ils sont de plus en plus nombreux à se dire « bon sang, comme j’aimerais reprendre tout ça à zéro ! ». »
Pourtant dans le même temps, et paradoxalement, le porno fait toujours autant de chiffres sur internet (PornHub, YouPorn, Xvideos et Redtube dépassent tous les 5 millions de visiteurs… par jour).
Bienvenue dans un XXIème siècle obsédé par le cul mais qui ne veut plus se salir. Woody Allen avait, en bon visionnaire névrosé, déjà éludé une question fondamentale : « Est-ce que le sexe est sale ? Seulement quand il est bien fait ». L’on sait aujourd’hui que ni l’abstinence ni l’excès ne rendent un homme heureux. L’abstinence devrait être alors pratiquée avec une certaine modération.
Il reste en revanche une question en suspend qui nous intéresse particulièrement, comment la communication va-t-elle pouvoir récupérer le phénomène ? On a déjà quelques idées. En attendant qu’elles se confirment, on garde les yeux ouverts et la braguette fermée.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
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