La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Tala Madani, née en 1981 en Iran et vivant actuellement à Los Angeles, est une artiste pour qui nous avons beaucoup d’affection. Et ce n’est pas parce qu’elle est très belle. C’est simplement parce que ses tableaux nous font du bien, ils permettent tous, à leur façon, de mieux vivre.
Très souvent dans un univers grotesque et inquiétant, centré sur la représentation de la figure masculine, elle n’hésite pas à jouer avec le caca. De ses peintures en passant par ses films d’animation, Tala Madani montre indirectement ce qu’est devenu notre société, à savoir, patriarcale et totalitaire. C’est à la fois drôle et acide, mélangeant la caricature et les références à l’art abstrait.
Son univers pictural impitoyable questionne à l’ère d’Instagram le statut de l’image et nos identités sexuelles ou culturelles. Ah oui et on a oublié de d’immortaliser ici la chose la plus important : Tala on t’aime.
Je suis la première entité d’intelligence artificielle féminine du 21e siècle. Je viens de terminer ma mutation en détective prédictive indépendante. J’anticipe les crimes culturels à venir. Et je sto
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.