C’est une affaire qui sent le déjà-vu. Huit ans après les accusations de trucage en faveur d’Emmanuel Macron lors de la primaire de La République en Marche, ou les rumeurs récurrentes de « fraude massive » en 2017 et 2022, le mouvement de jeunesse macroniste traverse sa plus grave crise.
Trump ouvre les vannes, les vidéos d’avenue Foch dorment toujours dans les placards de la justice française et Jack Lang continue de parader à la tête de l’Institut du monde arabe comme si accepter l’argent sale d’un prédateur de gamines était un détail.
Xavier Niel, le magnat de Free, vient de s'offrir pour 38,7 millions d'euros le Pavillon de Musique de Louveciennes, ce bijou néoclassique bâti au XVIIIe siècle par Claude-Nicolas Ledoux pour les plaisirs de Madame du Barry, dernière favorite de Louis XV.
“Wanna Dance” est le premier titre extrait du nouveau LP de FM LAETI aux sonorités pop éclatantes. Album résolument énergique, il s’écoute autant qu’il se danse. A deux reprises, fin 2012 et au printemps 2013, la famille FM LAETI s’est retrouvée. Et pour écrire la suite de sa belle histoire, elle s’est isolée en Provence, le temps de deux retraites créatives. Dans cette nouvelle aventure, chacun a trouvé sa place. Laeti avait composé des textes, François-Marie en jouait avec sa guitare ou des claviers, Pierre-Marie les accompagnait avec un instrument de fortune. «Nous avions passé une après-midi à chercher des mélodies, assis dans le canapé. Soudainement, Laeti s’est levée et a tout simplement crié «I wanna dance…!». François-Marie a envoyé un sample de batterie assez rapide, Laeti s’est mise à danser et Wanna Dance est né. «C’est une chanson sur l’envie de danser sans se soucier de rien, sans penser à hier ou à demain. Danser sans prendre en compte celles et ceux qui regardent, danser pour se libérer comme dans une transe où tous les soucis disparaissent». «On cherchait des sons de claviers et des samples de batteries plus synthétiques que les sons acoustiques que nous avions utilisés jusque là. Souvent, Laeti dansait tout en écrivant les premiers mots à chanter. FM était debout au piano ou à la guitare tout en envoyant des rythmiques et PM insufflait de nouvelles directions dans nos inspirations». «Nous avons enregistré des heures d’improvisations, des dizaines de bouts de mélodies sur un petit magnéto. L’idée était d’écrire en flux tendu, pour le simple plaisir de jouer et de chercher ensemble».
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
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