Alors que l'avocat controversé Juan Branco fait face à une procédure disciplinaire pouvant mener à sa radiation du barreau de Paris, un rassemblement de soutien prévu demain, le 16 juillet, devant la Maison du Barreau, suscite des tensions avec les autorités.
Dans un entretien captivant diffusé sur la chaîne Neutrality Studies Français, l’avocat, journaliste et militant Dimitri Lascaris expose avec une clarté percutante les mécanismes insidieux du « lawfare » – un terme qui désigne l’utilisation stratégique du droit comme arme de guerre.
Dans une France qui se targue de ses valeurs républicaines – Liberté, Égalité, Fraternité –, un scandale éclate au grand jour : des enseignants risquent des poursuites judiciaires pour avoir ouvert les portes des établissements scolaires à des enfants et familles sans domicile fixe (SDF).
La plateforme Sénat.fr (un site au service des citoyens, pour une fois c’est vrai) publie donc que « la poussière intelligente (smart dust) étudiée notamment par le physicien Kris Pister à l’Université de Berkeley serait composée d’une nuée de microprocesseurs. Emplis de minuscules capteurs, ils pourraient être utiles par exemple pour la protection de l’environnement en étant largués par un avion sur une zone donnée. En communiquant entre eux, ils seraient capables d’élaborer un bilan précis de la situation lors d’un incendie ou d’un séisme et de le transmettre à un ordinateur central. Mais, détournée par une puissance malveillante, cette technologie deviendrait un terrifiant outil d’espionnage d’une région ou d’une nation. On peut aussi malheureusement concevoir qu’un individu en jette une poignée dans une salle de réunion ou dans une pièce d’une habitation privée et puisse ensuite savoir tout ce qui s’y passe ou s’y dit… »
« L’étymologie (et l’éthique…) nous rappellent qu’il n’y a pas de médecine, pas de remède sans volonté de donner des soins (mederi) à celui qui en a besoin pour vivre. Le remède prescrit doit être utilisé à une seule fin : rétablir la santé, c’est-à-dire « réparer » le patient.
Un risque des nanobiotechnologies pourrait être de ne pas seulement pallier une déficience mais de céder à la tentation d’améliorer le vivant et d’aller jusqu’à augmenter volontairement les performances diverse d’un homme « bionique », d’un « surhomme ».
Voici quelques exemples de possibles dérives :
o L’implantation de microélectrodes sous la langue peut permettre à un aveugle de voir des contours et des formes, et de se diriger, peut-être certains souhaiteront-ils vérifier si ces implants ne réussissent pas à donner une sensorialité supplémentaire à leur perception.
o Les implants cochléaires qui pourraient permettre d’entendre à des sourds de naissance font peut-être rêver à une « super-oreille ».
o « Une équipe californienne travaille sur une prothèse électronique destinée à remplacer un hippocampe défaillant chez certains malades amnésiques. Lorsqu’on sait que l’hippocampe est une partie du cerveau indispensable à la mémorisation, on peut imaginer que certains pensent déjà à l’implantation d’une puce donnant accès à une mémoire illimitée. Ces électrodes, qui agissent si bien sur certaines zones du cerveau, peuvent aussi, demain, stimuler d’autres zones, sièges de plaisir. Et laisser croire à de proches paradis bioniques artificiels » (38(*)).
o Enfin, l’action d’électrodes sur des zones précises du cerveau permettrait de camoufler parfaitement le dopage sportif, puisque la surproduction de molécules endogènes, telles que les endorphines ne serait due qu’à une stimulation cérébrale. »
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