Greenpeace a bien compris que la meilleure façon de combattre une marque c’est de reprendre ses codes communicationnels pour créer un nouveau train d’idées dans l’esprit des consommateurs.
Ici, cassé le « coca-jeune-cool » pour un « coca-plastique-mort ». Efficace.
Une façon de changer le fatalisme en pointant les responsables.