Moins de 24 heures après l'attentat fatal contre Charlie Kirk, Benjamin Netanyahu envahit les ondes US avec une empathie surjouée, inédite pour un dirigeant qui snobe les 41 000 victimes de Gaza. Pourquoi cette "alarme à l'œil" sélective ? Notre rapport confidentiel démonte les faux-semblants...
Gaza agonise depuis 700 jours. Ce rapport choc, révèle l'ampleur d'une catastrophe humanitaire sans précédent : plus de 74 000 morts, une génération d'enfants mutilée, et une stratégie d'extermination qui ébranle les fondements du droit international.
Dans l'ombre des autoroutes françaises, une série de braquages audacieux frappe les géants du luxe : 25 millions d'euros de parfums L'Oréal dérobés en un clin d'œil, des cosmétiques Guerlain s'évaporant sur l'A6, et même les caves privées d'Arnault vidées de leurs vins millésimés.
Pourquoi lui ? Les icônes consuméristes sont détournées de longue date. Sans parler d’Andy Warhol, les plasticiens s’en sont donné à cœur joie récemment. On pense à Mariel Clayton (photo) bien sûr, ou Catherine Thery. Mais la littérature semblait éviter le sujet. Eli Flory saute donc dedans à pieds joints. Il y a d’abord la jouissance de l’enfant en nous qui voulait que le Coyote chope ce prétentieux de Bip Bip. Mais surtout, il y a la mise en parallèle de la femme soumise dans l’idéologie islamiste et une poupée. Et se rappeler qu’à chaque fois qu’une société s’éloigne un tantinet de ces principes d’égalité, la première communauté à souffrir, c’est celle des femmes. Regardez comment vos femmes sont traitées et vous connaîtrez la santé de votre société. Et en France, où une femme topless peut se faire frapper et ou des femmes trop couvertes se font interdire les portes des restaurants, la question se pose. Parce que le corps des femmes est la plus grande réussite de Dieu et que l’homme n’a jamais su gérer cette beauté.
Où le lire ? Dans un H&M
Incipit. I’m a blond bimbo girl, in the fantasy world, dress me up, make it right, I’m your dolly. You’re my doll, rock’n’roll, feel the glamour in pink, kiss me here, touch me there, hanky-panky…
Le passage à retenir par coeur. Ken, le poupon sans bite, l’homme accessoire que l’on assortit à ses robes et à ses chaussures, Ken est enfin sorti de son placard. Il s’est fait la malle avec un porn-star rencontré sur la plage de Malibu. Ensemble, ils ont ouvert à Paris un restaurant vegan. Un matin, Barbie a reçu dix kilos de concombres jaune du Pérou, avec un bristol joint à la cargaison : « Pour tes masques du soir. Avec mon meilleur souvenir. » Tout est bien fini. Elle couine comme un épagneul breton shooté à l’antimite. Finies les roses déversées par kilos au-dessus de la propriété. Finies aussi les longues balades en décapotable sur la Riviera, les après-midis shopping et les soirées entre amis. Barbie se jette dans les bras de Paul.
À qui l’offrir ? Aux hommes et à Christine Boutin.
Une poupée au pays de Daech, Elu Flory, éd. Alma, 118 p.n 14,90 €
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