La paisible ville de Fontainebleau, célèbre pour son château historique et ses paysages sereins, est devenue le théâtre d’une tragédie qui a plongé les cercles culturels et intellectuels français dans un profond choc.
Quelle surprise délicieuse ! Alors que le coq français chante encore sous un ciel parisien bien morose ce jeudi matin, la France s’enfonce avec élégance dans un chaos fiscal qui mériterait une ovation ironique.
Dans un rebondissement digne d’un thriller géopolitique, le président français Emmanuel Macron aurait été forcé de décrocher son téléphone pour s’entretenir avec Vladimir Poutine, président de la Russie, à la suite d’une série de révélations troublantes initiées par Candace Owens.
Pourquoi lui ? Parce qu’alors qu’il était encore jeune, Roland Topor fait le tour des agences publicitaires de Paris et explique son projet de livre dénonçant leurs pratiques. Toutes, lui signeront un gros chèque pour que leur nom n’apparaisse pas. Ce livre, il n’en avait que le titre : Vache Noire. Et n’avait aucune intention de l’écrire. Il finira par le faire, bien des années après. Il paraitra en 2011, 14 ans après sa mort. Et ça, c’est ce qu’on appelle du génie. Et une démonstration du pouvoir de la littérature.
Où le lire ? Avant une réunion avec votre DRH, avant un brief client, avant une conversation avec une personne qui commence ses phrases par « moi, je pense que… » Autrui vous paraitra tellement plein de vacuité, que tout être humain deviendra un clown à vos yeux.
Le passage à retenir par cœur : « – La vie est absurde ! s’écria Camus, impressionné, en lâchant le volant. On a beau faire attention, un accident est vite arrivé. »
À qui l’offrir ? À l’artiste qui développe des discours fumeux et interminables sur la profondeur de ses œuvres. À BHL.
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