Pourquoi lui ?
Parce que vous en parlez depuis 2006 sans l’avoir lu et qu’en plus, il vous occupera tout l’été, et même l’automne et une partie de l’hiver.
Où le lire ?
Partout, tout le temps, il faut s’atteler à la lecture pour achever un tel chef-d’œuvre.
Le passage à retenir par cœur :
« Toujours debout, je lui offris le reste de mon paquet de cigarettes. « Ah merci, dit-il, vous avez des allumettes ? » Je lui donnai aussi la boîte d’allumettes. L’Ukrainien attendait sur le pas de la porte. « Permettez moi de ne pas vous serrez la main », dit le commissaire avec un petit sourire ironique. – »Je vous en prie », répliquai-je. L’Ukrainien le prit par le bras et il sortit, enfonçant le paquet de cigarettes et la boîte d’allumettes dans la poche de sa veste. Je n’aurai pas dû lui donner tout le paquet, me dis-je ; il n’aura pas le temps de le finir, et les Ukrainiens fumeront le reste. »
À qui l’offrir ensuite ?
À ton amie qui dit tout le temps : « j’adore L’Étranger, mais c’est trop court ».