En pleine crise démographique – avec seulement 663 000 naissances en 2024 et un indice de fécondité tombé à 1,62 enfant par femme, une étude récente met en lumière le paradoxe cruel de la parentalité en France : un bonheur profond, mais souvent éclipsé par un épuisement extrême.
En cette veille de Noël 2025, alors que les stablecoins dépassent les 300 milliards de dollars de capitalisation et que le GENIUS Act, signé par le président Trump en juillet, ouvre la voie à une régulation claire des dollars numériques, un buzz intense entoure le prétendu lancement de X Payments.
Un an avant d’être abattu en public d’une balle dans le cou devant des milliers de personnes, Charlie Kirk animait une émission où il défendait ardemment la peine de mort « publique, rapide et télévisée ». À ses côtés, un invité prénommé Tyler évoquait des exécutions historiques impliquant le cou.
Pourquoi lui ? Une réinterprétation de l’histoire pour la rendre plus compréhensible, plus ludique. Une action diffuse tout le long du récit pour finir par une confrontation toute en dialogues. Le tout enrobé d’une belle histoire de vengeance. Non, vous n’êtes pas dans un film de Tarantino. Bien que le livre de Christine Clerc en ait tous les ingrédients. Et plus encore. Il y a de la tragédie grecque dans cette confrontation de deux statues vivantes, de deux généraux guidant leurs armées. Dans la chute d’un empire devant la naissance de son successeur. D’une idéologie devant la suivante. Une loupe sur un moment de l’histoire, mais surtout un récit éternel.
Où le lire ? Avant de regarder un film de la nouvelle vague. Le livre partage le même souffle.
Incipit. Mais enfin, ce Cohn-Bendit, qu’est-ce qu’il a pour lui ? Comment s’y prend-il pour entraîner tant de jeunes derrière lui ?
Le passage à retenir par cœur. -Toujours le désastre ! Et la peur ! Et le chaos ! -Mais le monde n’est qu’une succession de tempêtes ! Voyez-vous, Cohn-Bendit, il y a longtemps que j’ai compris qu’il n’y avait pas de vainqueurs. Je me demande si toute vie n’est pas un échec. Toute vie personnelle, j’entends. L’Histoire va, comme une énorme machine, inconsciente de sa force. Elle utilise les êtres humains, porte certains d’entre eux au sommet de la vague, puis les broie, les rejette sur le sable comme des fétus de bois.
À qui l’offrir ? À tous les politiciens du moment. Puisque tous se revendiquent soit de de Gaulle, soit de mai 68.
Le Tombeur du général, Christine Clerc, éd. Allary, 213 p., 18,90 €
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