En pleine crise démographique – avec seulement 663 000 naissances en 2024 et un indice de fécondité tombé à 1,62 enfant par femme, une étude récente met en lumière le paradoxe cruel de la parentalité en France : un bonheur profond, mais souvent éclipsé par un épuisement extrême.
En cette veille de Noël 2025, alors que les stablecoins dépassent les 300 milliards de dollars de capitalisation et que le GENIUS Act, signé par le président Trump en juillet, ouvre la voie à une régulation claire des dollars numériques, un buzz intense entoure le prétendu lancement de X Payments.
Un an avant d’être abattu en public d’une balle dans le cou devant des milliers de personnes, Charlie Kirk animait une émission où il défendait ardemment la peine de mort « publique, rapide et télévisée ». À ses côtés, un invité prénommé Tyler évoquait des exécutions historiques impliquant le cou.
KFC, la marque de fast-food spécialisée dans le poulet frit vient de lancer une campagne « interactive » sur Instagram, traduire « une campagne pour les jeunes » en langage marketing publicitaire. Intitulée « Little Money Big Fun » (« un peu d’argent beaucoup de plaisir ») cette campagne s’adresse essentiellement aux jeunes donc, mais surtout aux pauvres. Le principe est simple, on se fout de la gueule des « Rich Kids » d’Instagram en postant des photos similaires et caricaturales, sans les signes extérieurs de richesse. Par exemple, on parodie le petit con de riche qui pose devant son hélico avec le même hélico, mais en jouet, on remplace les billets de banque de cette bitch de 20 ans déjà refaite tellement elle est superficielle, par des billets de Monopoly, en se montrant sous son plus mauvais jour etc. Bref, un concept pour que les pauvres participent à l’enrichissement d’une société qui emploie une forte proportion de ces même jeunes payés au lance-pierre et régulièrement en grève dans divers restaurants du monde. (chiffre d’affaire de KFC pour la France en 2013 : 257 210 828 € ) Bref, plus c’est pourri, plus vous aurez de chances d’apparaitre sur le compte Instagram lancé par KFC à l’occasion. Trop coooool ! Pas tant que ça, car les seules images postées, qui oscillent entre gêne et tragédie, à ce jour sont réunies dans cet article.Et oui, visiblement ça n’a pas marché car les pauvres ne sont pas nécessairement des cons.
Bref, si t’as pas de blé t’es pas forcément un raté qui n’a rien d’autre à foutre que de servir les intérêts d’une marque qui, petit à petit finit quand même par te plumer la santé…contrairement au genre d’hérésies que l’on peut lire sur un site dédié à la publicité*, KFC ne prend pas « le contrepied de la glorification de la réussite » mais fait plutôt l’apologie de la loose.
*Vu sur lareclame.fr : « KFC prends le contrepied de la glorification de la réussite. Pour mieux se rapprocher de sa communauté (…). La marque n’oublie cependant pas d’affirmer son identité : il n’y a pas besoin d’avoir beaucoup d’argent pour passer un bon moment. Il suffit d’aller au KFC. »
Le meilleur pour la faim (oui j’ose), la campagne a été lancée par une agence de communication…roumaine.
Cécile Montigny conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout.
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