Normalement on a pour habitude ici d’être très méfiants face au népotisme des industries créatives. Mais Annabelle Belmondo est une exception. Elle ne fait pas du cinéma comme son grand-père, elle, elle est mannequin. Et c’est déjà bien.
Dans le détail, la petite ingénue Annabelle Belmondo est la fille ainée de Florence, deuxième fille de Jean-Paul Belmondo qui vit aujourd’hui aux États-Unis. Loin des clichés du mannequinat analphabète, Annabelle a fait des études de journalisme (on peut t’embaucher si tu veux ?) avant de rejoindre Karin Models Agency à Paris.
Voilà pour sa mini-bio. Maintenant, place à la réalité. Le monde de la mode va lui sauter dessus comme l’aurait fait feu Harvey Weinstein. La publicité ne va plus jurer que par elle. Et nous, on lui dira mais Annabelle n’abandonne pas tes rêves journalistiques, tu pourras toujours, même les mauvais jours, nous demander ce que tu veux.
Même si elle a aimé se faire photographier avec François Hollande (son seul défaut?), il n’en reste pas moins qu’Annabelle sera la Carla Bruni de 2050. Elle fera oublier toutes les petites étoiles du moment. Elle effacera les Léa Seydoux, Louise Bourgoin et autre Dorcas Coppin, toutes celles qui ont été à la mode l’espace d’un quinquennat. Annabelle, elle, elle restera. Elle est déjà intemporelle. En même temps quand c’est Jean-Paul Belmondo qui te change ta couche et te donne le biberon, tu as forcement envie de prendre la vie comme une joyeuse cascade interminable.
Pour le reste, il ne faut jamais la regarder trop longtemps dans les yeux. De peur d’être ensorcelé(e). Derrière la fille modèle, Annabelle cache une séductrice qui peut être destructrice. La beauté a toujours une double face…
Ce n’est pas vraiment visible à l’œil nu mais il faut toujours garder à l’esprit que face à une fille comme Annabelle on finit toujours perdant(e).