La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Alors qu’Apple n’a jamais eu à se situer sur le marché des téléphones, puisque la marque à dix ans d’avance en ayant créé une idéologie autour de son univers. On n’achète plus un produit Apple, mais on adhère à une communauté. Mais pour les autres marques de smartphones, qui ne peuvent que baver devant les chiffres des ventes d’iPhones (quelques 250 millions tous modèles confondus), il est encore temps de se positionner. Pour l’instant, c’est Samsung qui a su réagir le premier en s’installant dans la niche des artistes, des amoureux de l’imagination. Dernier exemple en date avec le spot Safari Imaginaire. Un concept simple : une musique entrainante et connue (Raid the Radio de General Elektricks) et une inspiration plus ou moins heureuse du travail d’une artiste alliant le digital et le street art (et donc, pleinement représentative de ce début de millénaire), Sandrine Estrade-Boulet. La petite balade dans le beau Paris, avec une caméra subjective. Tout y est. Ça fleure bon la culture germanopratine consumériste (pardonnez le paradoxe). La prochaine décennie nous dira si le nouveau positionnement de Samsung, assumé plus que jamais avec le lancement du Galaxy Note 2, permettra à la firme de refaire un peu son retard sur la secte à Steve Jobs.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
L'avenir appartient à ceux qui détruisent les codes pour mieux les recréer. Infiltrez notre réseau de penseurs, créatifs et visionnaires qui transforment la culture du 21e siècle. Ici, la fantaisie devient réalité et tout est culture en devenir.