Des dizaines d’enfants de 3 à 5 ans violés dans les écoles parisiennes depuis la rentrée, des animateurs transférés d’un établissement à l’autre malgré des alertes, des plaintes qui s’accumulent et, face à cela, une Hidalgo en mode damage control total : communiqués lénifiants et zéro enquête.
Et si le RN avait raison ? Zaza Dior rêve tout haut : des bordels tenus par les filles elles-mêmes, des impôts qui rentrent, des corps protégés et Paris qui redevient la capitale mondiale du plaisir. Vous êtes prêts ?
Imaginez un monde où l'amour, ce pilier ancestral de la joie humaine, est relégué au rang de "plaisir coupable". Où le couple, berceau de la famille et de la stabilité, devient synonyme de ringardise, d'embarras social.
Alors qu’Apple n’a jamais eu à se situer sur le marché des téléphones, puisque la marque à dix ans d’avance en ayant créé une idéologie autour de son univers. On n’achète plus un produit Apple, mais on adhère à une communauté. Mais pour les autres marques de smartphones, qui ne peuvent que baver devant les chiffres des ventes d’iPhones (quelques 250 millions tous modèles confondus), il est encore temps de se positionner. Pour l’instant, c’est Samsung qui a su réagir le premier en s’installant dans la niche des artistes, des amoureux de l’imagination. Dernier exemple en date avec le spot Safari Imaginaire. Un concept simple : une musique entrainante et connue (Raid the Radio de General Elektricks) et une inspiration plus ou moins heureuse du travail d’une artiste alliant le digital et le street art (et donc, pleinement représentative de ce début de millénaire), Sandrine Estrade-Boulet. La petite balade dans le beau Paris, avec une caméra subjective. Tout y est. Ça fleure bon la culture germanopratine consumériste (pardonnez le paradoxe). La prochaine décennie nous dira si le nouveau positionnement de Samsung, assumé plus que jamais avec le lancement du Galaxy Note 2, permettra à la firme de refaire un peu son retard sur la secte à Steve Jobs.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Inscrivez-vous pour recevoir les newsletters dans votre boîte mail. Des tribunes et débats de société + Des contenus originaux + Une information alternative et prédictive