Chers amis du glamour et des coulisses sulfureuses, c'est Zaza Dior qui vous parle, votre sentinelle des nuits parisiennes, celle qui sait que derrière chaque cocktail au Plaza Athénée se cache un secret plus amer que le Negroni le plus corsé.
Dans les entrailles du Louvre, temple présumé de l'art et de la culture, un désastre aussi prévisible qu'absurde vient de frapper au cœur de notre héritage. Le 27 novembre dernier, vers 21 heures, une fuite massive d'eau sale a envahi la bibliothèque du département des Antiquités égyptiennes.
On savait White & Case capable de tout pour protéger ses intérêts financiers. On découvre aujourd’hui qu’il est prêt à tout, absolument tout, pour protéger ses associés accusés des crimes les plus ignobles : des violences sexuelles sur mineurs.
Pourquoi lui ? Parce que l’auteure est une experte, Docteur en histoire et journaliste spécialisée en art contemporain, elle sait donc vulgariser noblement « la folie de l’art brut ». Elle vous apprendra que c’est Jean Dubuffet qui, dès 1945, lanca l’expression « art brut » pour mettre en lumière des œuvres d’autodidactes ou d’internés d’hôpitaux psychiatriques.
Où le lire ? Avant de vous rendre à un vernissage « pince fesse ».
Le passage à retenir par cœur ? « Certains pensent que l’art brut est une notion qu’il faudrait faire exploser, et qui serait datée, et ont vite fait de faire l’économie de l’auteur d’art brut, car il dérange », regrette Srah Lombardi. Michel Thévoz y voit même une lubie de marchands « en mal d’approvisionnement » d’un art affranchi de toute culture, et de tout « déterminisme mercantile ». « Faut-il dès lors élargir ou remanier la définition de l’art brut et l’ouvrir à des cas moins significatifs, de manière à assurer un contingent annuel stable ? poursuit-il. Ce serait évidemment une tricherie idéologique et commerciale, et, à tous égards, une trahison de l’esprit et de la lettre des écrits de Jean Dubuffet ». Et d’ajouter plus virulent : « Au demeurant, sommes-nous habilités à revenir sur une définition élaborée par un artiste à une certaine époque et dans un certain contexte culturel, une définition génératrice qui a catalysé ce type de création et qui n’en finit pas de produire ses effets. Respecter son caractère historique ne revient pas à la considérer comme caduque, tout au contraire : elle ne fait que gagner en actualité et en subversion. Je veux dire que les valeurs libertaires, créatrices et désintéressées correspondant à la définition de l’art brut mettent plus que jamais en question le mode de production, de diffusion et de commercialisation de ce qu’il est convenu d’appeler art. »
A qui l’offrir ? A vos amis collectionneurs qui aiment regarder (et découvrir) tout ce qui est à la marge.
Roxana Azimi – La folie de l’art brut – Séguier éditions – Prix public TTC 18 euros.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
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