La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
Pourquoi lui ? Parce que l’auteure est une experte, Docteur en histoire et journaliste spécialisée en art contemporain, elle sait donc vulgariser noblement « la folie de l’art brut ». Elle vous apprendra que c’est Jean Dubuffet qui, dès 1945, lanca l’expression « art brut » pour mettre en lumière des œuvres d’autodidactes ou d’internés d’hôpitaux psychiatriques.
Où le lire ? Avant de vous rendre à un vernissage « pince fesse ».
Le passage à retenir par cœur ? « Certains pensent que l’art brut est une notion qu’il faudrait faire exploser, et qui serait datée, et ont vite fait de faire l’économie de l’auteur d’art brut, car il dérange », regrette Srah Lombardi. Michel Thévoz y voit même une lubie de marchands « en mal d’approvisionnement » d’un art affranchi de toute culture, et de tout « déterminisme mercantile ». « Faut-il dès lors élargir ou remanier la définition de l’art brut et l’ouvrir à des cas moins significatifs, de manière à assurer un contingent annuel stable ? poursuit-il. Ce serait évidemment une tricherie idéologique et commerciale, et, à tous égards, une trahison de l’esprit et de la lettre des écrits de Jean Dubuffet ». Et d’ajouter plus virulent : « Au demeurant, sommes-nous habilités à revenir sur une définition élaborée par un artiste à une certaine époque et dans un certain contexte culturel, une définition génératrice qui a catalysé ce type de création et qui n’en finit pas de produire ses effets. Respecter son caractère historique ne revient pas à la considérer comme caduque, tout au contraire : elle ne fait que gagner en actualité et en subversion. Je veux dire que les valeurs libertaires, créatrices et désintéressées correspondant à la définition de l’art brut mettent plus que jamais en question le mode de production, de diffusion et de commercialisation de ce qu’il est convenu d’appeler art. »
A qui l’offrir ? A vos amis collectionneurs qui aiment regarder (et découvrir) tout ce qui est à la marge.
Roxana Azimi – La folie de l’art brut – Séguier éditions – Prix public TTC 18 euros.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Poirson-Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert s
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