Chers amis du glamour et des coulisses sulfureuses, c'est Zaza Dior qui vous parle, votre sentinelle des nuits parisiennes, celle qui sait que derrière chaque cocktail au Plaza Athénée se cache un secret plus amer que le Negroni le plus corsé.
Dans les entrailles du Louvre, temple présumé de l'art et de la culture, un désastre aussi prévisible qu'absurde vient de frapper au cœur de notre héritage. Le 27 novembre dernier, vers 21 heures, une fuite massive d'eau sale a envahi la bibliothèque du département des Antiquités égyptiennes.
On savait White & Case capable de tout pour protéger ses intérêts financiers. On découvre aujourd’hui qu’il est prêt à tout, absolument tout, pour protéger ses associés accusés des crimes les plus ignobles : des violences sexuelles sur mineurs.
Pourquoi lui ? Parce qu’il est certainement la première personne à avoir entamé un travail de dix ans pour se remémorer son coma et sa NDE, pour ensuite traduire ses souvenirs en bande dessinée. De l’avantage d’être un artiste : aucune douleur n’est stérile.
Où le lire ? Devant un ami(e) qui a une migraine.
Incipit. « Automne 2007, Marius a trois ans… »
Le passage à retenir par cœur ? « Si seulement ça pouvait s’achever comme ça. C’est vrai, à quoi bon ? Je suis aveugle, sourd et muré dans des états de plus en plus étriqués et pénibles. Je paye chaque période d’expansion sensorielle avec des paliers de morsures toujours plus invalidantes, toujours plus douloureuses. »
À qui l’offrir ? À tout ceux qui pensent que la vie c’est dur.
Quand vous pensiez que j’étais mort, Matthieu Blanchin, éd. Futuropolis, 174 p., 24 €
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