Près de 1,2 milliard d'euros d'argent public engloutis chaque année pour un cinéma français en surproduction : 300 films annuels dont la moitié fait flop avec moins de 20 000 entrées, et un système verrouillé par l'entre-soi élitiste. Un rapport IGF alerte !
Dans les méandres de l'art conceptuel américain des années 1970 et 1980, où les lignes entre création, investigation et conspiration se brouillent comme les traits d'un diagramme géant, deux figures émergent : Mark Lombardi et Steven Mark Klein.
Dans l'émission Interception de France Inter, diffusée le 12 octobre 2025, le journaliste Antoine Giniaux a levé le voile sur un scandale qui secoue la France : la prostitution des mineures.
Préparez-vous, l’avenir arrive. Comme il faut aujourd’hui créer du contenu et plus de la publicité à proprement parler, on peut facilement s’avancer en écrivant que la publicité va, dans les années à venir, être remplacé par le divertissement. Toutes les marques vont donc bientôt imiter les lancements de séries télés pour espérer créer la même addiction auprès de leurs consommateurs. Pour vous l’expliquer, preuve à l’appui, on va vous présenter deux cas d’écoles antinomiques, mais avec une stratégie commune, à savoir, la création d’un contenu original sous la forme d’une série tv. Le premier exemple est brillant d’intelligence narrative (pour la marque Norton) et le second est une merde abyssale (pour la marque Kate Spade & Company). Le premier contenu valorise le spectateur tandis que le second le rend complétement con. Commençons donc par l’excellence.
À LA RECHERCHE DE LA VILLE LA PLUS DANGEREUSE POUR INTERNET est une série documentaire qui vous plonge dans le monde secret du piratage. Il porte un regard audacieux sur les lieux et les personnes qui luttent contre la progression de la cybercriminalité.
Dans ‘Les repaires de la cybercriminalité’, nous explorons le monde secret des hébergements ‘bulletproof’, cachés dans des bunkers souterrains, isolés en mer, dans des appartements vides ou ouvertement répandus à travers le Web. Il s’agit d’un regard impartial sur la liberté et le chaos que l’anonymat peut créer et comment il peut être utilisé pour le bien comme pour le mal.
Une bande de connasses déblatère, épisode après épisode, autour de leur propre néant, prétexte détourné pour se montrer comme des portes mentaux de la marque. Un placement produit honteux sans aucune intelligence et qui pourtant s’offre le luxe de s’offrir une deuxième saison…
Elle est une jeune journaliste prédictive qui a contribué à la naissance d’APAR.TV. Elle travaille actuellement à l’écriture d’un essai majeur autour de Steve Oklyn, l’auteur de LA SOCIÉTÉ DE L’ALGORY
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