Un rapport récent du Sénat recommande de ne pas rendre publics les pays et entités qui détiennent la dette de l'État français, en contradiction apparente avec les dispositions légales en vigueur. Les détenteurs de la dette de la France doivent rester secrets, dixit le Sénat.
Dans le grand cirque audiovisuel français, où les audiences sont reines et les flops des pantins sacrifiés sur l'autel du CSA, deux nouvelles venues sur la TNT ont débarqué en fanfare il y a quelques mois : T18, fleuron du groupe CMI, et Novo19, bébé du groupe Ouest-France.
Pour son baptême du feu à la mise en scène, Kristen Stewart a puisé dans le réservoir des traumas générationnels, histoire de noyer la concurrence sous une vague coppolienne.
Le talent est partout. Comme en témoigne la deuxième édition de Photoquai, révélatrice de jeunes artistes, présentant les œuvres de cinquante photographes contemporains. En provenance de six zones géographiques représentées au sein des collections du musée du quai Branly : Amérique du Sud et Amérique Latine, Amérique du Nord, Asie, Océanie, Afrique, Proche et Moyen-Orient.
La direction artistique a été confiée cette année à Anahita Ghabaian Etehadieh, galeriste iranienne et fondatrice de la Silk Road Gallery, lieu unique, dans son pays, dédié spécifiquement à la photographie : « La sélection de Photoquai 2009 se veut poétique mais n’a pu éviter les grands sujets d’actualité. Trois principaux thèmes en sont sortis : l’environnement, la guerre et la violence, l’identité. En tant que directrice artistique de cette biennale et iranienne, ma plus grande ambition est de proposer un regard nouveau sur l’Autre, sans a priori, loin des clichés, et de créer les conditions d’un véritable dialogue…»
Ce choc voulu des cultures souligne la vitalité des 50 photographes retenus cette année (contre 70 pour l’édition 2007), l’enthousiasme palpable de certains «à venir en France pour la première fois», leur vision positive, fraîche, multicolore, même des pires fléaux (la pollution extrême de la Chine vue tel un peintre par Lu Guang, l’Eden mexicain dévasté vu par Pablo Lopez Luz, le jeune couple invité à la fête de la guerre par l’Iranien Gohar Dashti).
Ces jeunes photographes n’ont pas un discours commun ; ils sont réunis par l’écho de leurs œuvres entre elles, reflets tant de leur propre sensibilité que de la réalité sociale de leur pays.
La photographie iranienne est particulièrement mise à l’honneur dans le cadre de cette deuxième édition. Environ trente ans après la révolution islamique, vingt ans après la fin de la guerre Iran Irak, la photographie s’est affirmée comme un courant majeur en Iran. Représentée sur les quais de la Seine par les œuvres des photographes Abbas Kowsari, Gohar Dashti et Katayoun Karami… Tous sont désireux de refléter leur identité propre, leur histoire, leur mode d’appréhension du monde ; tous soucieux de montrer et mieux faire comprendre les bouleversements et les drames de leur peuple. Tout simplement renversant.
Voici un bref aperçu à travers nos coups de cœur :
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Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
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