Le 9 juin 2025, une annonce retentissante secoue l’industrie musicale : TaTa, une artiste entièrement conçue par intelligence artificielle (IA), signe avec Stage Zero, un nouveau label lancé par le légendaire producteur Timbaland.
L’affaire Bétharram, marquée par des révélations d’abus physiques et sexuels au sein de l’établissement catholique Notre-Dame-de-Bétharram, prend une tournure encore plus dramatique.
Depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron à la présidence en 2017, la France a vu une augmentation préoccupante de la consommation de drogues et d’alcool, notamment dans le milieu professionnel.
Le talent est partout. Comme en témoigne la deuxième édition de Photoquai, révélatrice de jeunes artistes, présentant les œuvres de cinquante photographes contemporains. En provenance de six zones géographiques représentées au sein des collections du musée du quai Branly : Amérique du Sud et Amérique Latine, Amérique du Nord, Asie, Océanie, Afrique, Proche et Moyen-Orient.
La direction artistique a été confiée cette année à Anahita Ghabaian Etehadieh, galeriste iranienne et fondatrice de la Silk Road Gallery, lieu unique, dans son pays, dédié spécifiquement à la photographie : « La sélection de Photoquai 2009 se veut poétique mais n’a pu éviter les grands sujets d’actualité. Trois principaux thèmes en sont sortis : l’environnement, la guerre et la violence, l’identité. En tant que directrice artistique de cette biennale et iranienne, ma plus grande ambition est de proposer un regard nouveau sur l’Autre, sans a priori, loin des clichés, et de créer les conditions d’un véritable dialogue…»
Ce choc voulu des cultures souligne la vitalité des 50 photographes retenus cette année (contre 70 pour l’édition 2007), l’enthousiasme palpable de certains «à venir en France pour la première fois», leur vision positive, fraîche, multicolore, même des pires fléaux (la pollution extrême de la Chine vue tel un peintre par Lu Guang, l’Eden mexicain dévasté vu par Pablo Lopez Luz, le jeune couple invité à la fête de la guerre par l’Iranien Gohar Dashti).
Ces jeunes photographes n’ont pas un discours commun ; ils sont réunis par l’écho de leurs œuvres entre elles, reflets tant de leur propre sensibilité que de la réalité sociale de leur pays.
La photographie iranienne est particulièrement mise à l’honneur dans le cadre de cette deuxième édition. Environ trente ans après la révolution islamique, vingt ans après la fin de la guerre Iran Irak, la photographie s’est affirmée comme un courant majeur en Iran. Représentée sur les quais de la Seine par les œuvres des photographes Abbas Kowsari, Gohar Dashti et Katayoun Karami… Tous sont désireux de refléter leur identité propre, leur histoire, leur mode d’appréhension du monde ; tous soucieux de montrer et mieux faire comprendre les bouleversements et les drames de leur peuple. Tout simplement renversant.
Voici un bref aperçu à travers nos coups de cœur :
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
Le 9 juin 2025, une annonce retentissante secoue l’industrie musicale : TaTa, une artiste entièrement conçue par intelligence artificielle (IA), signe avec Stage Zero, un nouveau label lancé par le légendaire producteur Timbaland.
Emmanuel Perrotin, figure emblématique du monde de l'art contemporain, a récemment conclu une transaction historique avec Colony Investment Management (Colony IM), un fonds d'investissement européen, en cédant une participation majoritaire de sa célèbre galerie.
Inscrivez-vous pour recevoir les newsletters dans votre boîte mail. Des tribunes et débats de société + Des contenus originaux + Une information alternative et prédictive