Plusieurs diplomates et membres du ministère des Affaires étrangères ont été passés à la moulinette pour tenter de débusquer un bavard au Quai d'Orsay. Celui-ci a fait fuiter dans la presse le plan secret du ministère contre la désinformation.
Les générations Y, Z et Alpha tournent le dos au soft power yankee pour embrasser un monde multipolaire dominé par Séoul, Tokyo et Pékin. Shein éclipse Nike, les K-dramas supplantent Hollywood : l'Asie n'est plus une mode, c'est la nouvelle boussole culturelle de l'Europe.
A l’heure où le mouvement punk est récupéré pour la communication des banques, il était de bon ton de remettre le vrai punk (d’aujourd’hui!) au centre du débat. En effet, impossible d’échapper à ce visuel choquant lancé par Virgin Money, Sex Pistols, Never Mind The Bollocks accompagné d’une déclaration de Mr Richard Branson : « Il est temps que les gens aient un peu de rebellion dans leur poche ».
Mr Branson, la rebellion ne se tient pas dans les poches de la jeunesse mondiale, elle se tient dans leur froc. La preuve avec Perfect Pussy. Ce groupe originaire de Brooklyn prouve que le punk n’est pas mort. Quelque chose se passe. C’est certain. La jeunesse mondiale a besoin plus que jamais de se déchainer, de crier sa colère. Pour certains le son de Perfect Pussy sera inaudible, pour d’autres la musique importera peu. Nous ne retiendrons qu’une chose, l’energie dévastatrice de Meredith Graves ( qui ne tardera pas à être récupérée par les magazines faussement « transgressifs ») et les titres de ses chansons : « I Have Lost All Desire for Feeling » ou encore « say yes to love ».
Cette citation de Guy Debord n’aura jamais été autant d’actualité qu’aujourd’hui : « À la moitié du chemin de la vraie vie, nous étions environnés d’une sombre mélancolie, qu’ont exprimée tant de mots railleurs et tristes, dans le café de la jeunesse perdue ».
Messages aux publicitaires et aux businessmen, aussi brillants soient-ils, il y a des choses qui ne s’achètent pas.
Cécile Montigny conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout.
Imaginez-vous enfermé dans une cellule étroite, sous l’œil constant de caméras de surveillance, sans intimité ni répit. Pour Nadya Tolokonnikova, cofondatrice du collectif punk féministe Pussy Riot, ce n’est pas une simple imagination, mais une réalité qu’elle a choisi de revivre volontairement.
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