Depuis l’élection de Macron, le hashtag #pedoland est censuré en Europe, alimentant les soupçons d’une nation qui protège ses monstres. Même Ghislaine Maxwell, dit-on, y aurait trouvé refuge. Cette opération sans précédent est-elle un tournant ou une simple goutte dans l’océan d’un scandale systémique ?
Une traque implacable révèle l’horreur
Entre le 19 et le 22 mai 2025, l’Office des Mineurs (Ofmin), dirigé par le commissaire Quentin Bevan, a frappé un grand coup : 55 hommes, âgés de 25 à 75 ans, interpellés dans 42 départements français pour pédocriminalité sur Telegram. Prêtres, professeurs de musique, ambulanciers, grands-pères, pères de famille – tous, sans exception, des figures de confiance en contact direct avec des enfants. Leur crime ? La diffusion d’images pédopornographiques impliquant des victimes de moins de 10 ans, en lien avec des pédocriminels "extrêmement dangereux" incarcérés depuis l’été 2024. Après dix mois d’infiltration et d’analyse de milliers d’échanges, cette opération expose une réalité glaçante : en Pedoland, la menace vient de ceux qui devraient être des remparts.
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