La Ve République vacille, et l’Élysée tremble. Pavel Durov, le sulfureux patron de Telegram, a décidé de jouer les pyromanes dans le pré carré de la Macronie, et il ne fait pas dans la dentelle.
Le procès de Sean "Diddy" Combs, qui secoue New York en ce mois de mai 2025, est une plongée dans l’horreur, révélant un prédateur qui a bâti un empire de terreur et d’abus sexuels derrière les strass et les projecteurs.
En ce 24 mai 2025, nous nous tenons à un carrefour critique de l’histoire de la France. Les récentes révélations sur l’influence de la Franc-Maçonnerie dans l’État et la justice, culminant avec l’affaire de la loge Athanor, nous contraignent à une prise de conscience collective.
“Deux nouveaux emojis sont venus au monde: homme enceint, et personne enceinte. Ils rejoignent la femme enceinte, un emoji qui existe depuis 2016”, écrivait en septembre 2021 le blog Emojipedia.
Mais le moins qu’on puisse dire, c’est que cet emoji agace beaucoup certains. “On ne dit pas encore que deux et deux font cinq mais on affirme désormais sans ciller que les hommes peuvent porter des enfants”, s’offusque la journaliste Eugénie Bastié dans Le Figaro. Elle y dénonce également ce qu’elle considère être une forme de désinformation: “Il est étonnant que les Big tech, qui promeuvent bien souvent un combat pour la science et chassent sans merci de leurs réseaux sociaux quiconque diffuse des ‘fake news’, se fassent les relais de propositions aussi anti-scientifiques. Car l’homme enceint n’existe pas du point de vue de la science”, estime la journaliste.
“C’est la propagande de la théorie du genre. C’est l’indifférenciation des sexes, c’est gommer le rapport hommes-femmes”, lance de son côté l’essayiste Paul Melun, auteur du livre Enfants de la déconstruction, auprès de RMC.
Sur Twitter aussi, les commentaires vont bon train. Pourtant, cet emoji est pensé pour représenter une réalité: celle des hommes enceints.
“Les hommes peuvent être enceints. Cela s’applique au monde réel (par exemple, les hommes trans) tout comme aux univers fictifs (par exemple, Arnold Schwarzenegger dans Junior ou encore la promotion de l’album ‘Montero’ de Lil Nas X). Quel que soit le genre, une personne peut être enceinte. Maintenant, il y a des emojis pour représenter cela”, explique le blog Emojipedia.
Cette réalité est aujourd’hui documentée par de nombreux reportages et portraits de ces personnes nées de sexe féminin, possédant de fait un appareil reproductif féminin, et pouvant donc vivre une grossesse. “J’ai toujours aimé les enfants. Avant d’entamer ma transition, j’ai envisagé la possibilité d’être enceint, parce qu’on me disait que la transition me rendrait infertile”, confie ainsi Freddy McConnell, un homme trans père d’un petit garçon, dont le Guardian fait le portrait.
Plus récemment, dans le documentaire, En infiltré.e.s, réalisé par Océan, on pouvait découvrir le parcours d’Ali, papa d’une petite Salomé et premier homme à être tombé enceint en France. Konbini.woke l’a ensuite rencontré:
Politologue franco-américaine, spécialiste de la société américaine et des relations franco-américaines. Mon travail et mes personnages sont considérés comme des antidotes aux algorithmes. Je veux déc
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