Dans les couloirs feutrés des startups de Tel-Aviv, dans les laboratoires high-tech de Haïfa, et jusque dans les salles d’opération des hôpitaux de Jérusalem, un mot d’ordre silencieux mais implacable s’est répandu : partir.
Aujourd'hui, alors que la lumière se pose sur un scandale d'abus sexuels rituels impliquant des membres du Knesset israélien, une ombre inquiétante plane sur Paris.
Nicki Minaj commandite un clip intolérable au réalisateur Jeff Osborne qui s’inspire de références rappelant le régime nazi. La polémique n’a pas tardé à exploser sur les réseaux sociaux. Le président de l’Anti Defamation League, Abraham Foxman, a même du déclarer : « La nouvelle vidéo de Nicki Minaj évoque la propagande du Troisième Reich et constitue une nouvelle dérive de la pop culture avec l’exploitation du symbole nazi . (…) Les survivants de l’Holocauste ne peuvent rester insensibles à cette vidéo et elle représente une minimisation de l’histoire de cette période. » Sur Twitter, l’artiste n’a pas eu d’autres choix que de se justifier avec cette phrase : « Je ne ferai jamais la promotion du nazisme dans mon art ». Nous sommes pourtant en droit de se poser la question suivante : A-t-on tous les droits pour faire le buzz autour de soi ? On vous laisse juger par vous même.
Le directeur de création Steven Mark Klein et le fondateur d’APAR.TV, Aurélien Atlan lancent Generic Architects, un atelier de création collectif. Basé à New York, Paris et Arles mais ouvert sur les 5
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