La lecture est-elle en train de disparaître dans notre pays ? Les chiffres récents du Centre national du livre (CNL), publiés le 8 avril 2025 dans la sixième édition de son baromètre bisannuel « Les Français et la lecture » (Les Français et la lecture en 2025), révèlent une tendance inquiétante.
Imaginez un instant que nous soyons le 25 mai 2025. L’intelligence artificielle (IA) ne se contente plus d’être un outil périphérique : elle s’invite au cœur même de la santé mentale, redessinant les contours du métier de psychologue.
Aujourd’hui, alors que nous sommes le 25 mai 2025, il est temps de lever le voile sur des scandales qui, bien que partiellement documentés, restent largement ignorés par le grand public et les médias traditionnels.
Pourquoi elle ? Parce qu’elle n’en est pas à son coup d’essai et qu’elle est l’une des première femme à oser parler du temps chez les femmes, du temps relatif, celui qui définit un individu, et qui plus est une femme, plus sûrement que son passé. Parce qu’à la manière du Journal d’un corps de Pennac, ce livre permet une nouvelle lecture de sa propre biographie. Un regard sur le temps à travers les souvenirs insignifiants. Quelles sont nos peurs, nos désirs et nos confiances à 14, 30 ou 60 ans ? Ce livre est pour tout ceux qui, en se regardant dans le miroir, finissent invariablement par voir un étranger.
Où le lire ? Devant la plus efficace des machines à voyager dans le temps : votre miroir.
Le passage à retenir par cœur ? « Je le sais, jusqu’à un certain âge les femmes ont un ascendant sur celles qui sont plus jeunes qu’elles, après cette limite c’est l’inverse, les plus jeunes regardent les plus vieilles avec condescendance et ne le reconnaissent plus ni ascendant ni potentiel de séduction. Il y a un argus tacite de l’âge pour les femmes dont les hommes organisent le cours, mais les femmes aussi, dans une proportion au moins égale. Les femmes adhèrent aux critères mis en oeuvre dans l’argus, elles marchent dans la combine, ne trouvent rien à redire. Les deux partis y trouvent leur compte sans doute. Un ami un jour m’a dit que la coure du mépris pour les femmes selon l’âge suit exactement celle du taux de fécondité. »
À qui l’offrir ? Si vous le croisez, à Dorian Gray, sinon à toutes les quadra qui commencent à flipper devant leur miroir.
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