Moins de 24 heures après l'attentat fatal contre Charlie Kirk, Benjamin Netanyahu envahit les ondes US avec une empathie surjouée, inédite pour un dirigeant qui snobe les 41 000 victimes de Gaza. Pourquoi cette "alarme à l'œil" sélective ? Notre rapport confidentiel démonte les faux-semblants...
Gaza agonise depuis 700 jours. Ce rapport choc, révèle l'ampleur d'une catastrophe humanitaire sans précédent : plus de 74 000 morts, une génération d'enfants mutilée, et une stratégie d'extermination qui ébranle les fondements du droit international.
Dans l'ombre des autoroutes françaises, une série de braquages audacieux frappe les géants du luxe : 25 millions d'euros de parfums L'Oréal dérobés en un clin d'œil, des cosmétiques Guerlain s'évaporant sur l'A6, et même les caves privées d'Arnault vidées de leurs vins millésimés.
Le Gorafi est un journal en ligne d’information. Mais comme son nom, l’info y est passée au shaker (pas à la cuillère). Et comme souvent, le tamis de l’humour ne laisse filtrer que la vérité. Organisant, par exemple, une grande soirée pour vivre en live le passage à l’heure d’hiver. Ou annonçant le ralliement de Mitt Romney à Barack Obama en plein dépouillement des urnes américaines. Ou le pied de nez au 4 milliards empochés par Georges Lucas avec la Princesse Leia acceptant de révéler l’emplacement de la base secrète des rebelles en échange du non-rachat de Disney. Au delà de l’humour, l’écho d’un phénomène planétaire et de fond : un besoin de vérité. Quelques décideurs n’ont toujours pas compris que le monde de la com’ (dans lequel s’intègrent malheureusement nombre de titres d’info) s’effondre et que les ficelles sont devenues trop grosses pour être invisibles. Rencontre rapide avec la rédaction du Gorafi.
-Comment est né le projet ? De quelle volonté ? Le journal a été créé en 1826 mais a dû passer dans la clandestinité dès 1830 après une censure suite à une enquête sur les « 3 glorieuses » qui auraient duré bien plus. Jean René Buissière n’avait qu’une volonté, informer, peu importe le prix. Nous sommes aujourd’hui les humbles héritiers de cette responsabilité.
-L’information se désinstitutionnalise de manière générale. Une bonne chose ? Nous n’avons pas eu écho d’une telle information. Avez-vous des sources ? Nous ne pouvons répondre à cette question. De plus c’est un mot très compliqué. Mais dès que l’un de nos journalistes nous confirmera cette info nous serons en mesure de vous répondre.
-D’ailleurs, est-ce que votre but est d’informer ? La réponse à votre question nous semble évidente. C’est comme si vous demandiez au Point si leur but était de désinformer. La réponse est oui, évidemment.
-Avec une nouvelle génération qui maîtrise parfaitement les codes de la communication, aujourd’hui ne sont possibles que la vérité ou l’humour. On a l’impression que vous conjuguez les deux. Merci pour ce compliment. Et c’est probablement vrai.
-Le Figaro dont vous êtes l’anagramme, met en exergue une phrase de Beaumarchais, « Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur. ». Et vous, quelle serait votre citation ? Nous n’avons pas de citation préférée officielle. Cependant à la rédaction nous aimons bien cette réplique tirée du film Over The Top: « Quand je retourne ma casquette, je fais le vide, je deviens… comme ce camion. Une machine. »
– Quand vous écoutez certains propos de nos hommes et femmes politiques, n’avez vous pas l’impression qu’ils vous font de la concurrence déloyale ? La comparaison politiques/humoristes est très en vogue ces temps-ci. Nous ne faisons pas dans l’humour mais dans l’information comme nous vous l’avons répondu plus haut. Nous ne pouvons donc rentrer dans ce type comparaison. A la rédaction, le seul point que nous ayons en commun avec le milieu politique serait à la rigueur l’existence de quelques emplois fictifs. Mais la ressemblance s’arrête là.
Dans cet entretien, traduit pour la première fois du GQ russe au français, Luiza Rozova, fille de Vladimir Poutine, se confie. Désormais active dans une galerie d’art à Paris, elle racontait il y a quatre ans déjà son quotidien, ses passions pour Elon Musk et sa quête d’identité loin du Kremlin...
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