La poésie n’est pas morte. Au contraire. Elle inspire encore, plus que jamais, les créatifs. Dernier exemple en date, le film « Rumors from an Aeolian Harp » du réalisateur Bruno Ilogti. Imaginé à partir du poème du même nom d’Henry David Thoreau. Avec l’aide du modèle androgyne Andrej Pejic, le réalisateur signe une utopie onirique avec en message de fond : la beauté de la nature promet quelque chose de plus beau que la vie réelle.
La bande original du film « Aeolian Harp », elle aussi inspiré du poème d’Henry David Thoreau, est composé par le pianiste Henry Cowell. C’est beau comme la rareté. Comme quoi, l’image ne peut se passer du verbe. Et inversement.