Pourquoi lui ?
Parce qu’il résume le mieux la pensée de l’un des plus grands écrivains du XXème siècle. Et surtout parce que Cioran commence comme ça : « Toutes les fois que je ne songe pas à la mort, j’ai l’impression de tricher, de tromper quelqu’un en moi. »
Où le lire ?
A l’église avant votre mariage ou après l’enterrement de vos parents.
Le passage à retenir par cœur :
« Ce que je sais à soixante, je le savais aussi bien à vingt. Quarante ans d’un long, d’un superflu travail de vérification… »
À qui l’offrir ensuite ?
A l’ami(e) largué(e) ou à l’amant déprimé.