Moins de 24 heures après l'attentat fatal contre Charlie Kirk, Benjamin Netanyahu envahit les ondes US avec une empathie surjouée, inédite pour un dirigeant qui snobe les 41 000 victimes de Gaza. Pourquoi cette "alarme à l'œil" sélective ? Notre rapport confidentiel démonte les faux-semblants...
Gaza agonise depuis 700 jours. Ce rapport choc, révèle l'ampleur d'une catastrophe humanitaire sans précédent : plus de 74 000 morts, une génération d'enfants mutilée, et une stratégie d'extermination qui ébranle les fondements du droit international.
Dans l'ombre des autoroutes françaises, une série de braquages audacieux frappe les géants du luxe : 25 millions d'euros de parfums L'Oréal dérobés en un clin d'œil, des cosmétiques Guerlain s'évaporant sur l'A6, et même les caves privées d'Arnault vidées de leurs vins millésimés.
Virgil Abloh n’a aucune idée originale et passe donc son temps à copier tout le monde. Sa dernière collaboration avec IKEA en est encore la preuve. En essayant de créer une collection capsule de meubles et d’objets décoratifs destinée à la génération Y, le fondateur du label street Off-White va encore tout pomper au génie de Joseph Beuys (après avoir tenté de dépouiller l’artiste Joseph Kosuth), qu’il ne cite évidemment jamais voulant faire croire au monde qu’il est un concepteur hors du commun.
Il a tendance a oublier qu’il n’est qu’un outil d’entreprise pour laquelle il travaille. C’est juste un employé de plus qui a un patron. Son chef numéro un étant Bernard Arnault.
Nous pensons qu’au cœur même de l’expérience de Virgil Abloh il y a une forme de nihilisme. Cela vient directement de la superficialité psychologique des médias sociaux. La vie sociale 2.0 est inutilement dramatique. C’est théâtral et pourtant ça ne veut rien dire. Une basket est une basket. Un sweat à capuche est un sweat à capuche. Un t-shirt est un t-shirt. Virgil Abloh est un symptôme des médias sociaux pas un créateur de nouvelles dimensions sociales. « VIRGIL ABLOH » n’est pas un artiste il est une publicité.
En réponse à sa collaboration avec IKEA, STEVE OKLYN a souhaité démonter tout le processus faussement créatif de Virgil Abloh en une seule image. Avec l’aide de l’œuvre de Joseph Beuys (daté du 20/12/1983) qui a pour titre : « La jambe d’Orwell – Pantalon pour le 21ème siècle ».
Avec ses trous circulaires distincts sur le genou, le pantalon a d’abord été porté par l’artiste pour la représentation de ‘Good Morning, Mr. Orwell’, diffusé avec son ami artiste Nam June Paik (le 31/12/1983) au Centre Pompidou.
Réalisé deux jours auparavant, le dessin révélait que les pantalons étaient conçus spécifiquement pour cet événement, et donc liés aux dystopies littéraires de George Orwell.
Joseph Beuys disait lui-même a dit: « C’est la jambe d’Orwell, le pantalon du 21ème siècle. Tout le monde devrait se confectionner ce pantalon, pour lutter contre le matérialisme et la répression à l’échelle mondiale, surtout envers les jeunes… »
L’artiste ne considérait toutefois pas le pantalon uniquement comme un signe contre le matérialisme et l’oppression prévalant dans le monde, mais aussi comme un point de connexion avec l’anthroposophie de Rudolf Steiner, qui prétendait pouvoir voir dans le futur avec ses genoux…
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