Michael Glawogger a fait de son film « Whore’s glory » un magnifique pamphlet pour la liberté, contre l’esclavagisme à travers le tumulte économique et spirituel dans lequel se trouvent des prostituées de différentes cultures.
Ses images nous racontent les bordels, sortes de ghettos de désirs ou tout est permis. Même d’exposer des dizaines de femmes dans des réservoirs à poissons attendant d’être choisies par d’éventuels clients. La cité de la joie, si elle doit être érigée doit l’être au nom de la gloire des putes.