Montée de la porn culture oblige, il est temps que le X ait sa propre école.
La FAP rappelant « vaguement » une école française de communication, comme le souligne le coquin Stephen des Aulnois.
Pourtant, la comparaison est dure. Une école du porno forme des gens à des métiers fictifs et inutiles, dont le seul intérêt est d’exciter quelques regards. Des métiers que l’on ne peut pratiquer que tant que la plastique suit. Des métiers surtout faits pour les femmes, mais soumises à l’autorité des hommes. Des profession où il s’agit de pénétrer des cercles et d’étendre des egos. Des métiers qui affichent l’amour, mais ne parlent qu’argent. Bref, des métiers où on se fait beaucoup enculer quand même.
Oui, finalement les deux écoles se ressemblent beaucoup.