Moins de 24 heures après l'attentat fatal contre Charlie Kirk, Benjamin Netanyahu envahit les ondes US avec une empathie surjouée, inédite pour un dirigeant qui snobe les 41 000 victimes de Gaza. Pourquoi cette "alarme à l'œil" sélective ? Notre rapport confidentiel démonte les faux-semblants...
Gaza agonise depuis 700 jours. Ce rapport choc, révèle l'ampleur d'une catastrophe humanitaire sans précédent : plus de 74 000 morts, une génération d'enfants mutilée, et une stratégie d'extermination qui ébranle les fondements du droit international.
Dans l'ombre des autoroutes françaises, une série de braquages audacieux frappe les géants du luxe : 25 millions d'euros de parfums L'Oréal dérobés en un clin d'œil, des cosmétiques Guerlain s'évaporant sur l'A6, et même les caves privées d'Arnault vidées de leurs vins millésimés.
Une plainte déposée le 8 avril dernier devant un tribunal de New York, aux États-Unis, et que « Marianne » a pu consulter vise LVMH. Le géant français du luxe y est accusé d’avoir collecté frauduleusement des données personnelles via son outil d’essai virtuel de lunettes.
La filiale américaine de LVMH a-t-elle pompé des identifiants et des informations biométriques détaillés et sensibles, y compris des scans faciaux complets d’internautes ? Telles sont les accusations de la plainte déposée ce vendredi 8 avril aux États-Unis et dont seule l’agence américaine Bloomberg a jusqu’à aujourd’hui fait état. La firme française dirigée par Bernard Arnault aurait profité de l’usage de son outil virtuel d’essai en ligne de lunettes, Virtual Try-On tool, pour conserver des données sans l’accord des utilisateurs. Cette application, par ailleurs disponible en France, permet d’utiliser un selfie réalisé avec son terminal et d’y superposer ensuite les lunettes de la marque de luxe.
Selon la plainte qui se propose d’entamer une action de groupe à l’initiative de Paula Theriot, une habitante de Marissa dans l’Illinois, le site effectue une analyse faciale mais omet de demander la permission d’utilisation ces données et d’expliquer à quoi elles servent. Ces données seraient ensuite stockées sur un serveur.
La plainte se fonde sur la législation de l’Illinois, résidence de la plaignante. Pas un hasard : cet État du centre des États-Unis est plus protectrice des internautes et punit d’une amende de 1 000 à 5 000 dollars la violation du consentement des consommateurs.
Cette législation qui avait été invoquée dans une autre affaire similaire où Facebook était poursuivi. En 2021, un juge fédéral avait entériné un accord entre Méta, la maison-mère de Facebook et des utilisateurs du réseau social. La firme de Mark Zuckerberg avait accepté de régler 650 millions de dollars pour s’éviter à un procès en matière de confidentialité lié au marquage (« tag ») de photos de visages.
*Contacté, LVMH n’a pas souhaité réagir.Source : Marianne
Artiste conceptuelle, critique d'art et historienne, Mary est célèbre pour son analyse critique du régime autonome de l'art hérité de la tradition moderniste.
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