Un rapport récent du Sénat recommande de ne pas rendre publics les pays et entités qui détiennent la dette de l'État français, en contradiction apparente avec les dispositions légales en vigueur. Les détenteurs de la dette de la France doivent rester secrets, dixit le Sénat.
Dans le grand cirque audiovisuel français, où les audiences sont reines et les flops des pantins sacrifiés sur l'autel du CSA, deux nouvelles venues sur la TNT ont débarqué en fanfare il y a quelques mois : T18, fleuron du groupe CMI, et Novo19, bébé du groupe Ouest-France.
Pour son baptême du feu à la mise en scène, Kristen Stewart a puisé dans le réservoir des traumas générationnels, histoire de noyer la concurrence sous une vague coppolienne.
Une plainte déposée le 8 avril dernier devant un tribunal de New York, aux États-Unis, et que « Marianne » a pu consulter vise LVMH. Le géant français du luxe y est accusé d’avoir collecté frauduleusement des données personnelles via son outil d’essai virtuel de lunettes.
La filiale américaine de LVMH a-t-elle pompé des identifiants et des informations biométriques détaillés et sensibles, y compris des scans faciaux complets d’internautes ? Telles sont les accusations de la plainte déposée ce vendredi 8 avril aux États-Unis et dont seule l’agence américaine Bloomberg a jusqu’à aujourd’hui fait état. La firme française dirigée par Bernard Arnault aurait profité de l’usage de son outil virtuel d’essai en ligne de lunettes, Virtual Try-On tool, pour conserver des données sans l’accord des utilisateurs. Cette application, par ailleurs disponible en France, permet d’utiliser un selfie réalisé avec son terminal et d’y superposer ensuite les lunettes de la marque de luxe.
Selon la plainte qui se propose d’entamer une action de groupe à l’initiative de Paula Theriot, une habitante de Marissa dans l’Illinois, le site effectue une analyse faciale mais omet de demander la permission d’utilisation ces données et d’expliquer à quoi elles servent. Ces données seraient ensuite stockées sur un serveur.
La plainte se fonde sur la législation de l’Illinois, résidence de la plaignante. Pas un hasard : cet État du centre des États-Unis est plus protectrice des internautes et punit d’une amende de 1 000 à 5 000 dollars la violation du consentement des consommateurs.
Cette législation qui avait été invoquée dans une autre affaire similaire où Facebook était poursuivi. En 2021, un juge fédéral avait entériné un accord entre Méta, la maison-mère de Facebook et des utilisateurs du réseau social. La firme de Mark Zuckerberg avait accepté de régler 650 millions de dollars pour s’éviter à un procès en matière de confidentialité lié au marquage (« tag ») de photos de visages.
*Contacté, LVMH n’a pas souhaité réagir.Source : Marianne
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