Alors que la guerre en Ukraine fait rage, Candace Owens détient un enregistrement où Trump supplie de taire une enquête sur Brigitte Macron, sous peine de voir la paix compromise. Des centaines de milliers de vies sont en jeu...
Un méga-contrat d’armement, un film financé par des fonds indiens et des soupçons de corruption : l’enquête sur la vente de 36 avions Rafale à l’Inde en 2016 s’intensifie, plaçant l’ancien président François Hollande et sa compagne, Julie Gayet, sous une pression croissante.
Entre punaises de lit et complots, nos élites jouent les clowns dans une tour de Babel, laissant Poutine triompher sans effort ! Tour d'horizon vertigineux.
Nabil, le réalisateur que nous aim(i)ons tant a encore frappé. Et il semblerait que cela soit son plus gros coup. A peine quelques heures que le clip Drone Bomb me, est sorti et la presse mondiale est déjà sous le charme, copieusement pathos, et aveuglément soumise au génie auto-proclamé du directeur artistique de la maison Givenchy, Ricardo Tisci. Car on sent cette fois que Nabil a du se plier aux règles du luxe compatissant pour les grandes causes mais qui doit tout de même honorer sa position dominante dans le monde culturel. Ainsi, Nabil a troqué sa place à Tisci qui signe le clip en tant que réalisateur.
Le Pitch c’est un melting-pot de tous les sujets « qu’il faut traiter » en ce moment dont voici les ingrédients : – le mouvement transgenre : ici incarné par la chanson en elle-même, de l’artiste transgenre Anohni, anciennement leader d’Antony & The johnsons – une mannequin (Naomi Campbell) qu’on met en scène comme une guerrière, triste, touchante, et à la fois porte-parole d’une grande cause. Le féminisme Made in LVMH. – La guerre, évidemment avec un texte engagé parce que « C’est une chanson d’amour. L’idée d’une fille afghane dont la famille a été tuée par un drone et qui regarde le ciel dans l’espoir d’être tuée à son tour, par un autre drone…» explique la chanteuse dans une interview donnée à la BBC.
On y découvre une « horde » de danseurs menaçants…censés incarner l’ennemi, Naomi en travelling, gros plan, sur une chaise chantant avec la voix de Anohni, vêtue en soldat, puis (on n’a pas compris pourquoi) dansant quasiment nue dans des couloirs éclairés par des néons post 80. Quasiment nue, car Givenchy, qui a du payer le spot a évidemment habillé la modèle avec les vêtement du directeur artistique de la Maison.
Givenchy, Naomi, Apple pour la diffusion, le réchauffement culturel marche en bande organisée et les nouveaux dictateurs ont trouvés leurs sujets.
Quand on lit ce genre de commentaires dans la presse au sujet de « Drone Bomb me », on aurait presque envie qu’ils se prennent eux aussi un drône pour arrêter cette propagande qui fait plus de mal au monde que de servir l’humanité. De quoi parle t-on ? Des larmes d’un ex-top modèle multi-milliardaire ou de celles de milliers d’enfants pris dans des conflits qui ne sont pas les leurs ?
« On n’a rarement vu un top pleurer et encore moins Naomi Campbell. Dans ce clip de de la chanteuse transgenre Anohni, l’ancien top modèle se révèle sous un jour émouvant. »
« D’un point de vue esthétique, le clip est d’une beauté épurée soulignée par la grâce du top model qui semble prendre son rôle très à cœur. »
« Le temps de la chanson, le top model laisse ses larmes couler et l’émotion est partagée. »
« Naomi chante le visage en larmes ce morceau écrit du point de vue d’une jeune afghane dont la famille a été décimée par des drones américains ».
Cécile Montigny conseille et accompagne les annonceurs, les agences et les sociétés de production à anticiper l’avenir. En parallèle elle est consultée comme talent-scout.
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